Soumis

Samedi 17 octobre 6 17 /10 /Oct 15:55

Suite des évènements marquant de mon « affreux » week-end prolongé. Je constate que mon petit article précédent a fait venir quelques personnes sur mon blog, bonjour à vous si vous lisez ça, n’hésitez pas à me laisser vos commentaires, ou vos remarques promis une fois bâillonné je ne mords pas !

 

 

Ce week-end particulier a été l’occasion de bien d’autre jeux et notamment une découverte particulière. Maîtresse Iris a bien compris l’attrait que revêtait pour moi les chaussures, bottes ou cuissardes, et Elle connaît parfaitement mes réactions à ce sujet. Elle ne se précipita donc pas pour me montrer à quel point les nouvelles cuissardes que l’on a achetées lui vont divinement bien. Elles sont marrons foncés, pas très haute pour des cuissardes, mais la couture sur le pied leur donne un effet moulé assez impressionnant. De plus, comme toute chaussures neuves, elles avaient cette odeur caractéristique, assez entêtante du cuir encore neuf, qui donne envie de s’approcher et de sentir à plein poumon le parfum envoûtant qu’elles exhalent. Les courbes de Maîtresse Iris sont divinement mises en valeur lorsqu’elle décide enfin de s’en gainer, et c’est sans la moindre hésitation que j’ai savouré toute les friandises qu’elle a déposé dessus, que ce soit de la chantilly, des morceaux de fruits, ma gourmandise était largement comblée. Peut être que j’aurais la chance de les prendre en photo un jour, et si vous êtes aussi sages que je tente de l’être qui sait si Elle ne me donnera pas l’autorisation de vous en faire profiter…

 

A la lecture de l’article parlant des pieds divins de ma Maîtresse, vous avez tous compris que Ses pieds avaient une place particulière dans mon esprit. Les regarder, les sentir, les effleurer, les toucher, tout cela me tourmente régulièrement, et Maîtresse Iris adore jouer sur les fétichismes qui me tourmentent. Mais si Elle a bien un trait de caractère particulier, c’est celui de toujours adapter ce qu’Elle sait qui va me plaire, pour en faire quelque chose de différent, de moins agréable pour son fétichiste de soumis, mais plus significatif sur le plan de la soumission. Elle préfère donc m’agiter Son Divin Pied sous le nez et me susurrer que je n’ai pas le droit de le lécher, ce qui indéniablement me donne une irrépressible envie de le faire… J’ai eu la chance de pouvoir les lécher plus tard dans le week-end avec même un ou deux morceaux de fruits et un peu de chantilly. Un régale. De plus Elle est consciente du pouvoir érotique de son pied sur moi, et Elle n’hésite pas à s’en servir pour effleurer mes parties sensibles, jouant avec par petites touches, ce qui me fait ressentir d’énormes vagues de chaleurs dans la nuque.

 

Il est bien connu que les chiens ne sont pas autorisés à dormir dans un lit, et qu’au mieux on les laisse près du lit pour qu’ils sentent la présence rassurante de leur Maîtres. Maîtresse Iris avait décidé d’appliquer le même principe avec son petit soumis. Elle me donna le haut de mon pyjama, en me précisant que je ne devais pas l’enfiler mais que je pouvais tenter d’en faire une sorte d’oreiller. Ceux qui ont déjà tenté l’expérience savent bien qu’un t-shirt fait un bien mauvais oreiller surtout si il est à manches courtes … Elle s’était allongée dans le lit et me regardait me mettre en place sur le parquet de la chambre, juste à côté d’Elle. Le parquet a cet avantage qu’il n’est pas trop froid au contact par rapport à du carrelage et qu’il est bien plus supportable de s’y allonger nu que sur du carrelage. Dormir dessus est tout de même un défi autrement plus périlleux. Après m’avoir ordonné de ne pas remonter dans  lit, elle se tourna et m’abandonna, nu sur le parquet, avec  juste mon t-shirt comme élément de confort. Alors que j’entendais sa respiration devenir plus régulière et profonde, je comprenais qu’elle avait réellement l’intention de me laisser là. La porte derrière moi laissait entrer un léger halo lumineux provenant du couloir, et avec lui un petit courant d’air particulièrement désagréable. Je me décalais donc un peu plus vers l’intérieur de la chambre, afin de conserver toute la chaleur que je pouvais. Les minutes passaient lentement, et autant  la première heure était agréable de part mon excitation intense par la situation et par ce qu’avait été ma soirée auparavant, autant lorsque j’ai été réellement fatigué j’ai réalisé que cette situation n’avait rien de douce, et que Maîtresse Iris m’avait puni une nouvelle fois. Je me suis retourné bon nombre de fois, lorsque mes omoplates devenaient trop engourdies ou douloureuses pour continuer de rester sur le dos, je tentais de me mettre en position fœtal afin de trouver un certain réconfort et de conserver de la chaleur. Je n’avais pas très froid, Elle me manquait et sa chaleur aussi, le plus dur était les courbatures. Etant d’une constitution plutôt sèche, je n’ai pas beaucoup de peau sur les os pour « protéger » mes muscles de situations pareilles, et aucune position ne me permettait de trouver un sommeil profond. J’ai également tenté sur le ventre, je vous laisse aisément imaginer le problème majeur, si vous ne souhaitez pas écraser Billy Boy (oui c’est son nom ! C’est Elle qui a choisi) il faut mettre plus de poids sur les genoux, et vos rotules doivent donc reprendre une partie de votre poids. Toujours le même résultat, au bout d’un quart d’heure vous bougez de nouveau pour dégourdir une partie et en endolorir une autre. Je pense avoir tenu quatre ou cinq heures de cette façon, et à un moment n’y tenant plus, j’ai posé ma tête sur le rebord du lit, tout proche de la poitrine de ma Maîtresse. Je pouvais sentir la chaleur émaner de Son corps ainsi que son souffle. Au bout d’un certain temps, Elle se réveilla à moitié, vous savez ces demi-réveils dont on ne se souvient pas le lendemain, et me demanda  ce que je faisais encore par terre à cette heure-ci. Elle me dit alors de monter me coucher dans le lit, se retourna et se rendormi aussi rapidement qu’Elle s’était réveillée. Ce n’est que le matin, une fois entièrement reposée qu’Elle réalisa ce qui s’était passé. Dans Son esprit elle avait bien l’intention de me faire passer toute la nuit par terre, mais Son esprit en avait décidé autrement lorsqu’au milieu de la nuit elle avait croisé mon air de chien battu, abandonné au bord du lit. Elle se jura que je ne l’y reprendrais plus et que la prochaine fois, je devrais dormir toute la nuit par terre… Enfin dormir est un bien grand mot, je ne sais pas si Elle veut que je dorme ou non, Elle a toujours en tête des idées et des implications à Ses actions que je ne peux même pas imaginer.

 

Tous les éléments du week-end ne sont pas dans l’ordre chronologique, ils suivent plutôt l’ordre dans lequel je m’en souviens ou une suite logique d’événements qui vont ensemble les uns avec les autres. Alors que bien d’autres souffrances me sont arrivées, laissez-moi-vous raconter l’horrible façon que Maîtresse Iris a eu de finir notre week-end.

 

Alors que le week-end touchait à sa fin, je raccompagnais Maîtresse jusqu’à son arrêt de tram pour qu’Elle puisse rentrer chez Elle. Ce n’est qu’une fois à mi-chemin que j’ai constaté qu’Elle avait oublié d’emporter le bouquet de fleur que je lui avais offert le matin même, afin de fêter une date importante de notre relation amoureuse. Elle me regarda alors avec son sourire le plus sadique, et m’annonça qu’après l’avoir raccompagné au tram, je n’aurais qu’à retourner le chercher et venir lui déposer chez Elle. Elle insista sur le fait que bien qu’étant dimanche soir, le week-end n’était pas terminé et que par conséquent je restais encore entièrement sous Ses ordres. J’ai eu la mauvaise idée de soupirer en pensant au temps qu’il allait me falloir pour faire l’aller puis le retour jusque chez moi une fois que j’aurais apporté le bouquet à Ma Divine Dominatrice. J’estimais le périple à deux heures, avec les changements de tram et la marche pour rentrer après. Ce soupir ne lui échappa pas, comme aucun de mes actes en Sa présence de toute façon, et elle m’ordonna le plus gentillement du monde de me mettre à quatre pattes dans la rue, et de me diriger vers la poubelle devant nous. La nuit était déjà tombé et peu de personnes se trouvaient dans la grande rue, mais je ne pouvais être sur que personne ne me verrait exécuter un ordre qui ne pouvait supporter aucune protestation. C’est donc avec empressement que je me suis mis à quatre pattes et que j’ai parcouru la distance me séparant de la poubelle. Maîtresse Iris ayant déjà lors d’une précédente séance ouvert une brèche dans mon âme pour me faire faire tout ce qu’Elle désire, Elle ne prit la peine que de regarder une brève fois vers moi pour s’assurer que j’allais bien jusqu’à la poubelle. Elle savait que je ne protesterais pas, ou que les conséquence en serait terribles, et Elle n’avait aucun doute sur ma docilité. Elle n’avait pas tord. Alors que je la rattrapais car Elle avait continué d’avancer sans se soucier de moi, Elle me fît son horrible sourire, celui de La Dominatrice satisfaite de Son œuvre, et de ce qu’Elle peut exiger de moi. En attendant le tram, elle me poussa dans mes retranchements, espérant sans doute des larmes, par ses mots troublants, afin de s’assurer que je garderais bien à l’esprit que je n’étais rien que Son jouet et qu’Elle pouvait me demander ce qu’Elle voulait, je ne pourrais pas lui refuser. Une heure plus tard j’étais devant chez Elle avec Son bouquet encore tout fébrile des sensations que j’avais, en colère contre Elle sans pouvoir la libérer.  Maîtresse Iris me possédait, je ne pouvais pas lui échapper…

 

 

A très vite pour de nouveaux passages de ce délicieux week-end.

Par Gazda Perun - Publié dans : Soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Mardi 13 octobre 2 13 /10 /Oct 22:56

Lors de mon précédent billet j’ai évoqué le fait que je serais amené à parler plus en détails de certains des moments que j’ai passé lors de ma dernière rencontre avec Maîtresse Iris. Malheureusement, le temps joue souvent contre nous, et une multitude de choses m’ont forcé à délaisser quelque peu la rédaction de ce blog. L’envie d’écrire dessus ne manque pas, mais je sais pour en fréquenter nombre d’autres que les blogs les plus attrayants, du moins pour les lecteurs masculins, sont ceux qui disposent de photos ou d’images. Je n’ai pas vraiment le temps de faire cette chasse à l’image pour le moment, et notre relation évoluant à notre rythme, je ne pense pas qu’à l’heure actuelle poster des photos de nos sessions soit à l’ordre du jour ou ne le devienne avant un  très long moment. Tout cela reste assez neuf pour nous, malgré les progrès fulgurants d’Iris dans son rôle de Maîtresse.

 

Cependant afin de satisfaire votre curiosité qui vous pousse malgré tout à en savoir plus j’ai pris le soin de noter quelques éléments marquants de mon dernier  « calvaire ».

 

Posons tout d’abord le contexte, une fin de semaine sans aucun impératif pour ma part, donc 4 jours du jeudi au dimanche soir, entièrement libre pour tout ce qui pourrait se dérouler durant cette période. Une liberté totale, due à des vacances, qui a permis à Maîtresse Iris de me concocter un programme particulier que je vais tenter de vous faire envier :

 

 Alors que l’attente et les désirs se faisaient de plus en plus pressants, du à une gourmandise maladive de ma part, je reçus par téléphone les instructions de Maîtresse Iris concernant notre petit week-end éducatif prolongé. Je devais m’arranger pour avoir fait toutes les courses nécessaires pour les 4 jours, afin que l’on ne manque de rien. Maîtresse Iris a eu la bonté de ne pas trop me tourmenter et m’a donc concocté avec soin une liste de courses. J’ai échappé à la corvée de devoir réfléchir à tous les plats qui Lui ferait plaisir et en assurer la réalisation seul. Mais je n’avais alors pas encore compris quel était son but profond, la raison pour laquelle elle se montrait si insistante sur l’importance de finir mes courses dès le début de notre week-end. Ce n’est que lorsqu’elle m’annonça qu’une fois revenu des courses je deviendrais son prisonnier que tout se fit clair.

Ainsi je n’avais, durant ces 4 jours, aucune sortie autorisée, sauf si Elle le souhaitait, je n’étais là pour personne, et je ne devais contacter personne. Un geste aussi simple que de répondre au téléphone m’était interdit, en effet je ne devais être là pour personne hormis ma Divine Dominatrice. L’air extérieur prend assez vite un parfum particulier le premier jour du week-end, lorsque sur le chemin du retour des courses, vous réalisez que la prochaine fois que vous verrez la lumière du soleil et que vous sentirez l’air frais sur votre peau sera dans 4 jours. Il était à peine 10h30 lorsque je franchis la porte de l’appartement que je ne pourrais refranchir. Mais malheureusement tout ne se passa pas comme Elle l’avait souhaité. En effet, par excès de zèle, j’avais estimé que le poisson du menu du vendredi soir devait être le plus frais possible pour satisfaire ma Maîtresse et que par conséquent je devrais aller l’acheter le jour même. La Divine Iris se montra compréhensive, et ne me reprocha pas cette initiative, qui aurait pu être bien plus durement sanctionnée en d’autres circonstances. D’habitude, les seuls initiatives que je peux prendre sont celles qu’Elle m’autorise, c'est-à-dire aucune. Rappelez-vous la dernière fois que j’ai pris une initiative. En anticipant sur sSn besoin d’un ingrédient de cuisine pour Sa recette, j’ai eu le plaisir de subir Son courroux vengeur, et mes fesses se souviennent encore des marques que la cravache avait alors laissé.

Je me retrouvais donc chez moi, interdit de sorties, prisonnier, n’étant là pour personne sauf Elle, disposé à l’attendre docilement.

 

Dans la liste des merveilleuses choses qu’Elle a eu la bonté de m’infliger, une menace m’est resté car particulièrement marquante, et me fait penser à elle quasiment quotidiennement. Alors qu’elle s’était absentée quelques instants, un grognement ne me laissa rien présager de bon. J’entendais sa démarche déterminée sur le parquet, et je ne savais alors pas ce que j’avais fait (ou omis de faire) qui pouvait susciter en Elle une telle réaction. Lorsqu’elle m’attrapa par les cheveux pour me jeter à quatre pattes et me tirer derrière Elle ainsi maintenu, j’étais profondément apeuré de ne pas savoir ce qu’Elle pouvait bien me reprocher. Elle me serra plus fermement à l’approche des toilettes, et apeuré, je n’osais bouger en comprenant la faute que j’avais commise. Laisser la cuvette relevé est énervant pour votre partenaire, pour Maîtresse Iris c’est inconcevable. Elle m’approcha la tête, me la passa au dessus de la cuvette, et me demanda si pour bien comprendre la leçon il était nécessaire qu’elle tire la chasse pendant que ma tête était au fond. Tout tremblotant je parvins à formuler un léger « non », et je gardais les yeux fermés de peur qu’Elle ne mette sa menace à exécution. Enfin elle libéra son emprise, et me fît promettre que cette erreur indigne d’un bon soumis docile et dévoué ne se reproduirait plus. Devinez à quoi je pense lorsque tout les jours dans mon appartement  je peux me permettre de ne pas baisser la cuvette car elle n'est pas là. A ma Maîtresse bien entendu. Espérons que je ne faute pas la prochaine fois que l’on se voit…

 

 

Rendez-vous lors d'un prochain billet pour la suite des événements marquants de notre dernière rencontre.

Par Gazda Perun - Publié dans : Soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Samedi 12 septembre 6 12 /09 /Sep 14:00

J'ai vu à mon grand étonnement qu'apparemment mon blog avait tout de même un intérêt pour certaines personnes. Je me dis donc que vous laissez savoir que je suis toujours là est peut être une bonne chose.

Non pas que je n'ai rien à écrire, mais les événements vous dépassent parfois, et actuellement tout est un peu trop confus pour pouvoir prendre le temps d'écrire clairement. Comme ça n'est pas forcément très clair dans mes textes, je tenais à préciser que Maîtresse Iris est aussi ma copine, et que nous sommes très loin du stade d'une relation D/S 24/7.

Non pas que ce soit inenvisageable (du moins pour moi   ).
mais que d'autres impératifs seront de toute façon prioritaires sur les désirs que l'on peut avoir.

Entre mon dernier récit et  aujourd'hui il s'est passé tout une succession de merveilleuse choses, et certaines d'entre elles m'on profondément remis en question sur ce que je souhaite et ce que je désire.

Car il est assez facile de cerner ses pulsions fétichistes, avec un peu de concentration je pense même qu'on arrive à trouver en gros d'où cela peut nous venir. Mais peut-on exactement savoir ce que l'on désire exactement en matière de soumission ?

C'est la ma grande interrogation du moment, Ma Maîtresse étant plus qu'une simple Dominatrice pour moi, elle peut se vanter de me connaître mieux que personne. C'est un fait qui n'a pas grand chose d'étonnant. Mais parfois j'ai également l'impression qu'elle me connaît mieux que je ne me connais moi même. C'est en partie la raison de mon si long silence sur ce blog. Maîtresse Iris a pris son rôle très à coeur durant les dernières séances ou journées que nous avons eu ensemble, et étonnamment pour moi, je peux dire à l'heure d'aujourd'hui que je ne sais absolument pas ce qu'elle me réserve pour la ou les prochaines fois, comme je reste toujours surprise de la facilité avec laquelle elle trouve ce qui me fait vibrer.

Je me questionne également beaucoup sur cet aspect justement, de savoir si me connaissant mieux que moi même elle ne se réduirait pas à satisfaire simplement mes pulsions fétichistes selon mes envies ou si au contraire elle les utilisera "contre" moi pour m'amener là où elle a besoin de m'emmener. Bien évidemment je connais la réponse qu'Elle donnerait et je la sais bien assez intelligente pour choisir la voie qu'il convient. Mais c'est bien ça qui dérange. Choisir la voie la mieux pour moi n'est pas celle que je préfère de prime abord, car elle utilisera ces choses, objets, situations, vêtements, ou autres, contre moi afin d'obtenir ce qu'elle veut et non pas de satisfaire mes désirs. En allant plus loin je me suis parfois demandé si elle ne faisait pas exprès de ne pas employer tout son arsenal justement pour voir l'effet qu'aurait sur moi cette frustration.

Mais quand j'ai enfin eu des réponses à mes questions, tous ces problèmes se sont envolés. Elle allait beaucoup plus loin que ce que je n'imaginais, elle dépassait l'aspect physique de la chose, plongeait à l'intérieur de moi pour en extraire des choses inavoués ou inavouables, profitant des traits de ma personnalité pour m'enserrer encore plus dans son étreinte. Je lui suis très reconnaissant et admiratif d'avoir réussi tout ce qu'elle a déjà fait jusqu'à présent.
L'idée de ces jeux de dominations/soumission venait de moi à la base, mais je dois bien avouer que sur l'aspect psychologique elle me connaît bien mieux que je ne la connais.

Pour les détails croustillants et les récits qui vous intéressent mes lecteurs anonymes, il faudra par contre patienter, car selon la formule consacré : Ca c'est une autre histoire   .

Bon week-end à tous.

Par Gazda Perun - Publié dans : Soumis - Communauté : La d/s dans tous ses états
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Samedi 22 août 6 22 /08 /Août 10:12

Contrairement à son habitude, hier soir Maîtresse Iris a fait preuve de retenue, profitant de la soirée pour se détendre et se reposer après une semaine de dur labeur. Le style de domination fût moins explicite et moins total que d'habitude, mais elle réussit tout de même à s'assurer que son soumis l'aidait bien dans les tâches qu'Elle lui demandait.

Pour la première fois elle s'amusait à préparer une confiture, et c'est probablement la réussite de celle-ci qui a permis à son petit chien de passer une si délicieuse soirée.

Plus tôt dans la journée, après une nuit qui avait fini de manière aussi peu reposante qu'énoncer précédemment, la poste avait déposé un petit paquet. C'était les nouveaux bas en latex noir qu'ils attendaient tout les deux avec impatience. La qualité est bien supérieur à celle du précédent modèle et Maîtresse Iris comprend mieux pourquoi on évoque une seconde peau en parlant du latex. Après l'avoir aidé à retirer ses affaires de ville, son docile compagnon l'aida à se préparer pour les enfiler. Dès lors, un doux parfum monta à ses narines, une fragrance terriblement sensuelle pour lui qui lui ferait tourner la tête pendant bien des heures. Le talc nécessaire à faire rentrer le Divin pied de sa Maîtresse, ainsi que l'odeur forte du latex, et le parfum entêtant de Maîtresse Iris se libèrerent dans un bouquet de senteurs, qui le transportait littéralement. Le latex lui allait tellement  bien, qu'il avait du mal à décrocher son regard de ses jambes gainées de latex. Il désirait se prosterner et passer le reste de sa vie proche de Ses pieds qu'il vénérait.

Lorsque le repas et les confitures fûrent préparés, Elle alla s'installer dans le salon pour répondre au téléphone. Ayant réalisé toutes les petites tâches de la soirée qui lui incombait pour le moment, il la rejoignit dans le salon, et s'installa par terre proche du canapé. Elle venait d'enlever Ses bas après les avoir porté pendant plus de deux heures "Juste pour voir".
Sa sueur s'était mêlé au talc sur ses jambes, et il alla chercher un sopalin doux pour la nettoyer gentillement. Il était à ce moment dans une autre dimensions. Aux parfums évoqués précédemment s'était rajouté celui des pieds de Sa Maîtresse, qui avait travaillé en petites spartiates toute la journée. Il était transporté, et osa même lui demander pendant qu'elle téléphonait, si elle serait assez aimable de le laisser faire des bisous sur le bas des jambes et sur les pieds. Lorsqu'elle lui fît un léger oui de la tête, il eut l'impression que son être tout entier se liquéfiait. Il aurait voulu que cette vénération dure des heures et des heures.

Une fois son appel téléphonique terminé, elle le fît s'approcher du bord du canapé, lui attrapa gentillement la tête; qu'elle fît reposé sur le bord, tout contre Son divin corps. Elle le maintînt dans cette position agréable pendant que Ses mains caressaient les cheveux et la nuque de son soumis. Elle était de bonne humeur ce soir, et il le sentait. Après avoir longuement flotté dans sa bulle, Elle le fît un petit peu redescendre sur terre en lui demandant de prendre soin d'Elle avec ses doigts. Il était assez doué pour cette tâche qu'il affectionnait tant, et c'est naturellement qu'il donna énormément de plaisir à Sa Maîtresse, en faisant glisser ses doigts le long de Ses divines lèvres inférieures, alternant comme elle l'aimait les massages du clitoris et les petites pénétrations de Son merveilleux puit de plaisir. Elle profitait grandement de la situation et l'obligea ensuite à le lécher, dans une position qui n'était pas très confortable pour lui, mais à ce moment là peu lui importait de savoir si son esclave était confortablement installé ou non.

Il adorait le goût de Sa Maîtresse, et Elle lui fît le cadeau suprême de le bloquer entre Ses cuisses, l'immobilisant dans une position où priver d'air, sa seule chance de sortir fût de lui donner suffisamment de plaisir pour qu'Elle daigne relâcher son étreinte. Après un Orgasme avec un grand O, elle le remercia en lui caressant une fois de plus la tête et la nuque. Il était transporté par tant de bonté, par la soirée exquise qu'il passait et par Sa présence. Il ne pouvait rien souhaiter d'autre, que de faire durer plus longtemps ce moment de plénitude. Il La servait, Elle y prenait du plaisir et cela le rendait parfaitement heureux.

Ils prîrent leur repas devant la télé, ayant choisis un bon film pour l'accompagner. Mais il ne pouvait pas être sur que le film soit si prenant que ça. Lorsqu'Elle avait remarqué dans quel état Elle pouvait le mettre en passant proche de son visage Son pied, en lui caressant la nuque et le dos avec, Elle avait entrepris de le perturber pendant toute la durée du repas et pendant la première heure du film. Elle reposait son pied sur son épaule, tout proche de son visage, mais le repoussait gentillement chaque fois qu'il sentait son pied de trop près ou qu'il souhaitait y déposer plus qu'un simple baiser. Après plus de la moitié du film elle estima qu'il était temps d'en finir là, et ils quittèrent le salon et le film qu'il n'avait pas suivi de toute façon.

Sa première soirée en Sa compagnie s'avérait au delà de toute espérances, et il ne pouvait attendre de voir la suite des évènements. Il raccompagna sa Maîtresse jusqu'en ville pour qu'Elle rentre chez Elle, en lui précisant que la pire des tortures qu'Elle pouvait lui infliger était bien de le laisser rentrer et dormir seul ce soir là.

Merci Maîtresse pour cette soirée ...
Par Gazda Perun - Publié dans : Soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Vendredi 21 août 5 21 /08 /Août 05:44
Comme souvent avant le début d'une période en présence de Ma Maîtresse, la dernière nuit seul dans son grand appartement est difficile à supporter. Loin de Son parfum enivrant, de la chaleur de Ses caresses et du Divin son de Sa voix, tout semble vide et triste.

Le soleil va timidement commencer à pointer le bout de son nez... lui rappelant ainsi qu'il n'a pas beaucoup dormi cette nuit. Sa petite liste à côté de lui contient les petites choses qu'il devra faire aujourd'hui avant d'avoir la chance de la voir. Ce n'est pas vraiment des devoirs mais des choses que de toute façon il faudrait avoir fait avant le début du week end.

Espérons que ces insomnies ne deviendront pas une mauvaise habitude qui l'empêche de dormir trop souvent. Les vacances risquent de ne pas être très reposante dans le cas contraire. Dans moins de 12 heures Elle sera là...
Par Gazda Perun - Publié dans : Soumis
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