Samedi 17 octobre 6 17 /10 /Oct 15:55

Suite des évènements marquant de mon « affreux » week-end prolongé. Je constate que mon petit article précédent a fait venir quelques personnes sur mon blog, bonjour à vous si vous lisez ça, n’hésitez pas à me laisser vos commentaires, ou vos remarques promis une fois bâillonné je ne mords pas !

 

 

Ce week-end particulier a été l’occasion de bien d’autre jeux et notamment une découverte particulière. Maîtresse Iris a bien compris l’attrait que revêtait pour moi les chaussures, bottes ou cuissardes, et Elle connaît parfaitement mes réactions à ce sujet. Elle ne se précipita donc pas pour me montrer à quel point les nouvelles cuissardes que l’on a achetées lui vont divinement bien. Elles sont marrons foncés, pas très haute pour des cuissardes, mais la couture sur le pied leur donne un effet moulé assez impressionnant. De plus, comme toute chaussures neuves, elles avaient cette odeur caractéristique, assez entêtante du cuir encore neuf, qui donne envie de s’approcher et de sentir à plein poumon le parfum envoûtant qu’elles exhalent. Les courbes de Maîtresse Iris sont divinement mises en valeur lorsqu’elle décide enfin de s’en gainer, et c’est sans la moindre hésitation que j’ai savouré toute les friandises qu’elle a déposé dessus, que ce soit de la chantilly, des morceaux de fruits, ma gourmandise était largement comblée. Peut être que j’aurais la chance de les prendre en photo un jour, et si vous êtes aussi sages que je tente de l’être qui sait si Elle ne me donnera pas l’autorisation de vous en faire profiter…

 

A la lecture de l’article parlant des pieds divins de ma Maîtresse, vous avez tous compris que Ses pieds avaient une place particulière dans mon esprit. Les regarder, les sentir, les effleurer, les toucher, tout cela me tourmente régulièrement, et Maîtresse Iris adore jouer sur les fétichismes qui me tourmentent. Mais si Elle a bien un trait de caractère particulier, c’est celui de toujours adapter ce qu’Elle sait qui va me plaire, pour en faire quelque chose de différent, de moins agréable pour son fétichiste de soumis, mais plus significatif sur le plan de la soumission. Elle préfère donc m’agiter Son Divin Pied sous le nez et me susurrer que je n’ai pas le droit de le lécher, ce qui indéniablement me donne une irrépressible envie de le faire… J’ai eu la chance de pouvoir les lécher plus tard dans le week-end avec même un ou deux morceaux de fruits et un peu de chantilly. Un régale. De plus Elle est consciente du pouvoir érotique de son pied sur moi, et Elle n’hésite pas à s’en servir pour effleurer mes parties sensibles, jouant avec par petites touches, ce qui me fait ressentir d’énormes vagues de chaleurs dans la nuque.

 

Il est bien connu que les chiens ne sont pas autorisés à dormir dans un lit, et qu’au mieux on les laisse près du lit pour qu’ils sentent la présence rassurante de leur Maîtres. Maîtresse Iris avait décidé d’appliquer le même principe avec son petit soumis. Elle me donna le haut de mon pyjama, en me précisant que je ne devais pas l’enfiler mais que je pouvais tenter d’en faire une sorte d’oreiller. Ceux qui ont déjà tenté l’expérience savent bien qu’un t-shirt fait un bien mauvais oreiller surtout si il est à manches courtes … Elle s’était allongée dans le lit et me regardait me mettre en place sur le parquet de la chambre, juste à côté d’Elle. Le parquet a cet avantage qu’il n’est pas trop froid au contact par rapport à du carrelage et qu’il est bien plus supportable de s’y allonger nu que sur du carrelage. Dormir dessus est tout de même un défi autrement plus périlleux. Après m’avoir ordonné de ne pas remonter dans  lit, elle se tourna et m’abandonna, nu sur le parquet, avec  juste mon t-shirt comme élément de confort. Alors que j’entendais sa respiration devenir plus régulière et profonde, je comprenais qu’elle avait réellement l’intention de me laisser là. La porte derrière moi laissait entrer un léger halo lumineux provenant du couloir, et avec lui un petit courant d’air particulièrement désagréable. Je me décalais donc un peu plus vers l’intérieur de la chambre, afin de conserver toute la chaleur que je pouvais. Les minutes passaient lentement, et autant  la première heure était agréable de part mon excitation intense par la situation et par ce qu’avait été ma soirée auparavant, autant lorsque j’ai été réellement fatigué j’ai réalisé que cette situation n’avait rien de douce, et que Maîtresse Iris m’avait puni une nouvelle fois. Je me suis retourné bon nombre de fois, lorsque mes omoplates devenaient trop engourdies ou douloureuses pour continuer de rester sur le dos, je tentais de me mettre en position fœtal afin de trouver un certain réconfort et de conserver de la chaleur. Je n’avais pas très froid, Elle me manquait et sa chaleur aussi, le plus dur était les courbatures. Etant d’une constitution plutôt sèche, je n’ai pas beaucoup de peau sur les os pour « protéger » mes muscles de situations pareilles, et aucune position ne me permettait de trouver un sommeil profond. J’ai également tenté sur le ventre, je vous laisse aisément imaginer le problème majeur, si vous ne souhaitez pas écraser Billy Boy (oui c’est son nom ! C’est Elle qui a choisi) il faut mettre plus de poids sur les genoux, et vos rotules doivent donc reprendre une partie de votre poids. Toujours le même résultat, au bout d’un quart d’heure vous bougez de nouveau pour dégourdir une partie et en endolorir une autre. Je pense avoir tenu quatre ou cinq heures de cette façon, et à un moment n’y tenant plus, j’ai posé ma tête sur le rebord du lit, tout proche de la poitrine de ma Maîtresse. Je pouvais sentir la chaleur émaner de Son corps ainsi que son souffle. Au bout d’un certain temps, Elle se réveilla à moitié, vous savez ces demi-réveils dont on ne se souvient pas le lendemain, et me demanda  ce que je faisais encore par terre à cette heure-ci. Elle me dit alors de monter me coucher dans le lit, se retourna et se rendormi aussi rapidement qu’Elle s’était réveillée. Ce n’est que le matin, une fois entièrement reposée qu’Elle réalisa ce qui s’était passé. Dans Son esprit elle avait bien l’intention de me faire passer toute la nuit par terre, mais Son esprit en avait décidé autrement lorsqu’au milieu de la nuit elle avait croisé mon air de chien battu, abandonné au bord du lit. Elle se jura que je ne l’y reprendrais plus et que la prochaine fois, je devrais dormir toute la nuit par terre… Enfin dormir est un bien grand mot, je ne sais pas si Elle veut que je dorme ou non, Elle a toujours en tête des idées et des implications à Ses actions que je ne peux même pas imaginer.

 

Tous les éléments du week-end ne sont pas dans l’ordre chronologique, ils suivent plutôt l’ordre dans lequel je m’en souviens ou une suite logique d’événements qui vont ensemble les uns avec les autres. Alors que bien d’autres souffrances me sont arrivées, laissez-moi-vous raconter l’horrible façon que Maîtresse Iris a eu de finir notre week-end.

 

Alors que le week-end touchait à sa fin, je raccompagnais Maîtresse jusqu’à son arrêt de tram pour qu’Elle puisse rentrer chez Elle. Ce n’est qu’une fois à mi-chemin que j’ai constaté qu’Elle avait oublié d’emporter le bouquet de fleur que je lui avais offert le matin même, afin de fêter une date importante de notre relation amoureuse. Elle me regarda alors avec son sourire le plus sadique, et m’annonça qu’après l’avoir raccompagné au tram, je n’aurais qu’à retourner le chercher et venir lui déposer chez Elle. Elle insista sur le fait que bien qu’étant dimanche soir, le week-end n’était pas terminé et que par conséquent je restais encore entièrement sous Ses ordres. J’ai eu la mauvaise idée de soupirer en pensant au temps qu’il allait me falloir pour faire l’aller puis le retour jusque chez moi une fois que j’aurais apporté le bouquet à Ma Divine Dominatrice. J’estimais le périple à deux heures, avec les changements de tram et la marche pour rentrer après. Ce soupir ne lui échappa pas, comme aucun de mes actes en Sa présence de toute façon, et elle m’ordonna le plus gentillement du monde de me mettre à quatre pattes dans la rue, et de me diriger vers la poubelle devant nous. La nuit était déjà tombé et peu de personnes se trouvaient dans la grande rue, mais je ne pouvais être sur que personne ne me verrait exécuter un ordre qui ne pouvait supporter aucune protestation. C’est donc avec empressement que je me suis mis à quatre pattes et que j’ai parcouru la distance me séparant de la poubelle. Maîtresse Iris ayant déjà lors d’une précédente séance ouvert une brèche dans mon âme pour me faire faire tout ce qu’Elle désire, Elle ne prit la peine que de regarder une brève fois vers moi pour s’assurer que j’allais bien jusqu’à la poubelle. Elle savait que je ne protesterais pas, ou que les conséquence en serait terribles, et Elle n’avait aucun doute sur ma docilité. Elle n’avait pas tord. Alors que je la rattrapais car Elle avait continué d’avancer sans se soucier de moi, Elle me fît son horrible sourire, celui de La Dominatrice satisfaite de Son œuvre, et de ce qu’Elle peut exiger de moi. En attendant le tram, elle me poussa dans mes retranchements, espérant sans doute des larmes, par ses mots troublants, afin de s’assurer que je garderais bien à l’esprit que je n’étais rien que Son jouet et qu’Elle pouvait me demander ce qu’Elle voulait, je ne pourrais pas lui refuser. Une heure plus tard j’étais devant chez Elle avec Son bouquet encore tout fébrile des sensations que j’avais, en colère contre Elle sans pouvoir la libérer.  Maîtresse Iris me possédait, je ne pouvais pas lui échapper…

 

 

A très vite pour de nouveaux passages de ce délicieux week-end.

Par Gazda Perun - Publié dans : Soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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