Mardi 13 octobre 2 13 /10 /Oct 22:56

Lors de mon précédent billet j’ai évoqué le fait que je serais amené à parler plus en détails de certains des moments que j’ai passé lors de ma dernière rencontre avec Maîtresse Iris. Malheureusement, le temps joue souvent contre nous, et une multitude de choses m’ont forcé à délaisser quelque peu la rédaction de ce blog. L’envie d’écrire dessus ne manque pas, mais je sais pour en fréquenter nombre d’autres que les blogs les plus attrayants, du moins pour les lecteurs masculins, sont ceux qui disposent de photos ou d’images. Je n’ai pas vraiment le temps de faire cette chasse à l’image pour le moment, et notre relation évoluant à notre rythme, je ne pense pas qu’à l’heure actuelle poster des photos de nos sessions soit à l’ordre du jour ou ne le devienne avant un  très long moment. Tout cela reste assez neuf pour nous, malgré les progrès fulgurants d’Iris dans son rôle de Maîtresse.

 

Cependant afin de satisfaire votre curiosité qui vous pousse malgré tout à en savoir plus j’ai pris le soin de noter quelques éléments marquants de mon dernier  « calvaire ».

 

Posons tout d’abord le contexte, une fin de semaine sans aucun impératif pour ma part, donc 4 jours du jeudi au dimanche soir, entièrement libre pour tout ce qui pourrait se dérouler durant cette période. Une liberté totale, due à des vacances, qui a permis à Maîtresse Iris de me concocter un programme particulier que je vais tenter de vous faire envier :

 

 Alors que l’attente et les désirs se faisaient de plus en plus pressants, du à une gourmandise maladive de ma part, je reçus par téléphone les instructions de Maîtresse Iris concernant notre petit week-end éducatif prolongé. Je devais m’arranger pour avoir fait toutes les courses nécessaires pour les 4 jours, afin que l’on ne manque de rien. Maîtresse Iris a eu la bonté de ne pas trop me tourmenter et m’a donc concocté avec soin une liste de courses. J’ai échappé à la corvée de devoir réfléchir à tous les plats qui Lui ferait plaisir et en assurer la réalisation seul. Mais je n’avais alors pas encore compris quel était son but profond, la raison pour laquelle elle se montrait si insistante sur l’importance de finir mes courses dès le début de notre week-end. Ce n’est que lorsqu’elle m’annonça qu’une fois revenu des courses je deviendrais son prisonnier que tout se fit clair.

Ainsi je n’avais, durant ces 4 jours, aucune sortie autorisée, sauf si Elle le souhaitait, je n’étais là pour personne, et je ne devais contacter personne. Un geste aussi simple que de répondre au téléphone m’était interdit, en effet je ne devais être là pour personne hormis ma Divine Dominatrice. L’air extérieur prend assez vite un parfum particulier le premier jour du week-end, lorsque sur le chemin du retour des courses, vous réalisez que la prochaine fois que vous verrez la lumière du soleil et que vous sentirez l’air frais sur votre peau sera dans 4 jours. Il était à peine 10h30 lorsque je franchis la porte de l’appartement que je ne pourrais refranchir. Mais malheureusement tout ne se passa pas comme Elle l’avait souhaité. En effet, par excès de zèle, j’avais estimé que le poisson du menu du vendredi soir devait être le plus frais possible pour satisfaire ma Maîtresse et que par conséquent je devrais aller l’acheter le jour même. La Divine Iris se montra compréhensive, et ne me reprocha pas cette initiative, qui aurait pu être bien plus durement sanctionnée en d’autres circonstances. D’habitude, les seuls initiatives que je peux prendre sont celles qu’Elle m’autorise, c'est-à-dire aucune. Rappelez-vous la dernière fois que j’ai pris une initiative. En anticipant sur sSn besoin d’un ingrédient de cuisine pour Sa recette, j’ai eu le plaisir de subir Son courroux vengeur, et mes fesses se souviennent encore des marques que la cravache avait alors laissé.

Je me retrouvais donc chez moi, interdit de sorties, prisonnier, n’étant là pour personne sauf Elle, disposé à l’attendre docilement.

 

Dans la liste des merveilleuses choses qu’Elle a eu la bonté de m’infliger, une menace m’est resté car particulièrement marquante, et me fait penser à elle quasiment quotidiennement. Alors qu’elle s’était absentée quelques instants, un grognement ne me laissa rien présager de bon. J’entendais sa démarche déterminée sur le parquet, et je ne savais alors pas ce que j’avais fait (ou omis de faire) qui pouvait susciter en Elle une telle réaction. Lorsqu’elle m’attrapa par les cheveux pour me jeter à quatre pattes et me tirer derrière Elle ainsi maintenu, j’étais profondément apeuré de ne pas savoir ce qu’Elle pouvait bien me reprocher. Elle me serra plus fermement à l’approche des toilettes, et apeuré, je n’osais bouger en comprenant la faute que j’avais commise. Laisser la cuvette relevé est énervant pour votre partenaire, pour Maîtresse Iris c’est inconcevable. Elle m’approcha la tête, me la passa au dessus de la cuvette, et me demanda si pour bien comprendre la leçon il était nécessaire qu’elle tire la chasse pendant que ma tête était au fond. Tout tremblotant je parvins à formuler un léger « non », et je gardais les yeux fermés de peur qu’Elle ne mette sa menace à exécution. Enfin elle libéra son emprise, et me fît promettre que cette erreur indigne d’un bon soumis docile et dévoué ne se reproduirait plus. Devinez à quoi je pense lorsque tout les jours dans mon appartement  je peux me permettre de ne pas baisser la cuvette car elle n'est pas là. A ma Maîtresse bien entendu. Espérons que je ne faute pas la prochaine fois que l’on se voit…

 

 

Rendez-vous lors d'un prochain billet pour la suite des événements marquants de notre dernière rencontre.

Par Gazda Perun - Publié dans : Soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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