Vendredi 21 août 5 21 /08 /Août 01:41
Au dernier jour d'attente avant de vivre ce qu'il attendait intensément, il ne pouvait s'empêcher de songer aux mille et une choses qu'Elle avait probablement envisagé pour lui. Elle trouvait toujours le moyen de se glisser dans son esprit, de lire ses pensées comme un livre ouvert, et d'anticiper sur des besoins qu'il n'osait à peine s'avouer.

Il savait qu'à partir de demain, une partie de son armure allait de nouveau se briser. Elle l'avait aidé énormément pour accomplir un tel travail et il lui en était plus que reconaissant. Les nuits précédentes avaient été bien agité et il arrivait péniblement à l'orée du début du jeu, il était fatigué mentalement avant même d'avoir commencé quoi que ce soit.

Mais dans quelques heures, après quelques menues tâches à réaliser, il aurait le loisir de savourer sa frustration, lorsqu'Elle jouerait probablement avec ses nerfs, ne se décidant à commencer la partie que lorsqu'Elle en aurait envie et pas lui.

Les 3 jours avec interruptions puis les 4 jours et nuits de la semaine suivantes lui apparaissaient comme l'accomplissement pour lui d'une quête si longue qu'il ne pouvait se souvenir précisemment la date du début. Mais demain tout changerait, les doutes seront différents, les nuits agitées pour des raisons évidentes, et il pourra enfin s'abandonner dans la main de fer, gantée de latex de celle qui le hante quand la lumière s'éteint.

Demain Elle sera là, Maîtresse Iris revient.


Par Gazda Perun - Publié dans : Soumis
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 21 août 5 21 /08 /Août 01:39

Article basé sur une expérience vécue, légèrement agrémenté d'éléments suggérés pour d'éventuels suites.

 

 

        Son retour avait été  plus prompt qu’il n’était convenu, mais les choses n’évoluent pas toujours comme on le souhaite, et la possibilité de s’adonner aux plaisirs de la soumission n’est pas une activité facilement conciliable avec un emploi du temps trop chargé. Ils s’étaient revus l’après midi d’avant le récit qui sera principalement conté ici, le temps pour Elle de tester une partie de sa nouvelle panoplie de Divine Domina, et pour lui de comprendre les affres dans lesquelles elle allait le noyer avec son plus total consentement. Après un premier contact avec le latex, il en avait déjà pris pour son matricule à trop vouloir ressentir par avance ou voir avant qu’Elle ne le lui permette, et la fessée qu’Elle lui avait administré alors l’avait bien aider à se remémorer les préceptes qu’elle lui avait inculqué durant la semaine d’initiation, cette même semaine qui l’avait conduit à se morceler et à s’abandonner complètement sous la main de fer de Sa Maîtresse.

 

        Le moment le plus intense, hormis la redécouverte des joies de la cire, l’odeur du latex, la honte d’être fessé à bascule sur ses Divines Jambes, avait été lorsqu’elle s’était faîte raccompagnée à l’arrêt de tram alors qu’il portait encore ses menottes en cuir de bon petit soumis sous son t-shirt. Il ne pouvait s’empêcher de se demander si quelqu’un remarquerait quelque chose, ou non, mais intérieurement il était fier de lui et il la remerciait d’avoir réussi à le faire sortir ainsi vêtu. Sa soumission n’était plus simplement cloîtrée aux 4 murs de sa chambre, il allait devoir apprendre que Sa Maîtresse attendait bien plus de lui. Il fût donc contraint à ne pas quitter les menottes, hormis pour les tâches où ils risquaient de les abîmer, jusqu’à ce qu’ils se revoient le lendemain après-midi.

 

Elle lui avait concocté tout une liste de chose à faire, Elle estimait qu’il était grand temps de se servir de lui pour effectuer les besognes qu’Elle ne voulait pas faire. Maîtresse Iris l’avait appelé larbin, et du fond de son ego, il n’avait pas aimé le terme. Il ne le trouvait pas autant à son goût que soumis ou esclave, ou soubrette, qui était généralement les sobriquets qu’Elle lui attribuait, quand elle ne le faisait pas aboyer et répéter plusieurs fois qu’il était une petite chienne. Ainsi son « larbin » préférant se voir comme un bon soumis remplît consciencieusement son petit carnet afin d’être sur de ne rien oublier des recommandations et listes que sa Maîtresse lui avait fourni. Une fois rentré chez lui ce soir là, il avait planifié sa matinée future, afin d’être sur de pouvoir accomplir les différentes tâches dans le temps qui lui était imparti, tout en notant les dernières recommandations de Maîtresse Iris.

 

Il avait opté pour une stratégie qui commençait tôt le matin par une première partie du ménage, celle qui ne faisait pas de bruit et qu’on pouvait faire dès 7h le matin, puis achats des billets pour le cirque à la FNAC dès l’ouverture à 10h, suivi des courses pour répondre aux exigence culinaire de Maîtresse Iris, de prendre Ses affaires au pressing en sortant du supermarché, puis de rentrer préparer le repas de Celle qui occupe déjà tout son esprit, 2ème partie du ménage, fignolages des préparatifs pour son arrivée. Ouf un sacré programme en perspective l’attendait. Seulement dans son malheur, il n’avait pas prévu l’effet qu’auraient les actes de Maîtresse Iris sur sa nuit de sommeil. On parle parfois de nuit de sommeil agité, lorsque l’on est souvent réveillé. Mais comment nomme-t-on une nuit durant laquelle on ne ferme l’œil que pour le rouvrir quelques minutes après, se rendre compte qu’on a trop chaud ou trop froid, qu’on est mal positionné, et que finalement rien ne va. Durant ces nuits là on sait assez rapidement que si le sommeil ne vient pas, il ne viendra probablement pas plus dans une heure. Il flottait dans des visions obscures tout au long de la nuit, et quand vers 4h55 n’en pouvant plus il se résigna à se relever, il écrit ce mail à Maîtresse Iris :

 

Je profite de mon insomnie pour Vous envoyer un petit mail. Il est actuellement 4h57 quand je commence à écrire, je viens de me relever car je ne supportais plus de rester dans mon lit sans dormir.

Loin de Votre présence et Votre chaleur, Votre tendresse et Votre parfum suave, mon corps n'a fait que frissonner, seul et abandonné. Mon esprit quant à lui bouillait du désir de Vous revoir, de sentir Vos divines mains sur mon corps, et d'imaginer toutes les horribles choses que Vous avez planifié pour moi. Des flashs me parvenaient, me montrant tout nu, devant l'objectif de Votre appareil, dans des positions et des tenues plus que suggestives et humiliantes. Ou en train d'aboyer comme la petite chienne que je sais être pendant que Vous me filmiez en riant. Je me voyais tout lisse des épaules jusqu'au sexe Vos mains parcourant mon corps pour tester la douceur retrouvée de ma peau, et toutes ces pensées ne faisaient que se mêler avec d'autres dont je ne pourrais faire un rapport exhaustif ici sous peine de Vous noyer inexorablement sous mes désirs et de Vous ennuyer.

La chaleur de mes pensées alimentaient ma chaudière corporelle, et quelques minutes après avoir eu froid et grelotter dans mon lit malgré la grosse couette avec laquelle Vous avez eu la bonté de me laisser dormir, mon corps était maintenant bouillant, d'un désir que je ne peux et ne veux assouvir sans Vous, ma Douce Maîtresse Iris.

Je vous demande humblement de me pardonner, je ferais tout ce que Vous estimerez nécessaire afin de parfaire mon éducation, et de répondre à vos attentes. Je vais encore flâner un petit peu sur internet, puis si le sommeil ne vient toujours pas j'attendrais patiemment 6h30 dans mon lit, et lorsque le cruel réveil sonnera enfin, je commencerais les tâches que Vous m'avez demandé de réaliser. Alors peut être ce malaise et ce sentiment de culpabilité, sera remplacé par la satisfaction de travailler pour le plaisir, le confort et le bien être de ma Maîtresse, afin que sa journée à Elle soit plus douce et plus sereine, en enlevant du poids de Ses si jolies épaules.


Votre dévoué petit soumis, qui espère de tout son coeur, avoir assez de forces pour supporter la délicieuse journée que Vous avez eu la mansuétude de lui mitonner.

 

Malheureusement pour lui le sommeil ne revînt pas avant l’heure fatidique, et c’est résigné qu’il commença son petit déjeuner à 6h du matin pour prendre de l’avance sur son planning de ménage. Toute la partie de soumission qui consistait à faire les tâches de Sa Maîtresse, se sont révélés d’un intérêt unique pour lui, il ne pensait qu’à La satisfaire, et que si il se donnait suffisamment de mal Elle aurait peut être la bonté de glisser un léger signe montrant qu’elle reconnaissait les efforts qu’il avait fourni. On pourrait prendre une page entière à narrer une par une les choses qu’il a nettoyé dans la maison, mais on perdrait au final le fil de l’histoire et l’intérêt réside plutôt dans l’arrivée de Sa Maîtresse.

 

A 5 minutes près il avait réussi à tenir les délais qui lui étaient imposés, il avait barré tout ce que sa liste contenait, et c’est avec le cœur léger du sentiment d’un travail digne d’un petit soumis bien docile qu’il attendait que Maîtresse Iris accepte de lui accorder un peu de temps. Elle prît tout son temps pour arriver, ce qui le laissait en proie à d’éternelles questions, et Elle le savait, Elle adorait jouer sur son attente, il avait l’imaginaire qui démarrait au quart de tour, et c’est aisément qu’il en était déjà au point qu’elle avait décidé de ne venir que beaucoup plus tard, juste pour le torturer un peu plus, ou que sans lui dire elle avait décidé qu’Elle ne passerait pas la nuit chez lui, comme cela avait été convenu au départ, simplement pour lui montrer que c’est Elle qui décidait de comment les choses évoluaient et que c’est par Sa Volonté qu’il doit s’exécuter. Elle finît tout de même par se présenter à sa porte, quelques minutes après que mort d’inquiétude il n’ai pu se résigner à un autre choix que de l’appeler, provoquant ainsi Ses réprimandes, d’avoir osé l’appeler alors qu’il n’avait qu’à attendre tout simplement.

Il choisît de l’attendre dans la cuisine à son arrivée, pour être prêt à Son service, et il fît la encore une erreur, car Elle l’aurait voulu dans l’entrée, pour lui souhaiter la bienvenue, et enlever Ses petites chaussures de ville.

Après un examen rapide de l’appartement, Elle décida de goûter l’encas mini repas qu’il avait dû lui préparer, et ne se gêna pas pour annoncer le ton de la journée au moindre oubli ou faux pas de son petit soumis pendant le repas.

 

Après Sa rapide collation, Elle se dirigea vers la chambre pour enfiler sa tenue, de scène. Elle fît semblant de ne pas remarquer tout de suite les deux colis posés sur le lit, et hésita un moment sur ce qu’Elle préférait mettre aujourd’hui, il avait adoré le fait qu’elle lui demande d’ouvrir la bouche avec son petit « ah » qui obtenait ce qu’Elle voulait de lui, mais Elle n’avait pas encore osé lui plonger le nez dans la partie la plus odorante de sa culotte pour lui souiller le visage ou lui faire lécher.

 

Elle opta pour Ses Nouveaux et Sublimes Bas en latex noirs, ainsi que sa culotte fendu, qu’Elle semblait beaucoup apprécier, bien qu’Elle n’en ai rien dit. Enfin elle enfila Ses chaussures, celles qu’il adorait lécher et qu’il pourrait vénérer pendant une heure si telle était Sa volonté. Elle s’accorda un bref dessert à base de mangue et d’un peu de chantilly, et opta pour le même traitement pour lui, à la différence que les morceaux pour son soumis tout comme sa chantilly avaient la fâcheuse tendance à se retrouver sur Ses chaussures ou à même le sol. Il adorait quand elle faisait ça, et aurait quasiment pu manger n’importe quel aliment, tant que Sa Maîtresse lui présentait de la sorte, ajoutant parfois un léger « Ah » qui le faisait frissonner tout entier. Elle se fît transporter sur le dos de sa petite chienne ou de son cheval selon comme on voit les choses jusqu’au salon, et c’est dans un état second qu’il parcouru le couloir à quatre pattes, tentant de tout son être de ne pas déséquilibrer sa Déesse, afin que l’étreinte de Ses jambes en latex qui caressaient ses joues ne finissent pas prématurément. Elle lui fît faire quelques exercices physiques de plus dans le salon et après une mémorable dégustation de chantilly sur chaussure puis bas en latex, elle retourna dans la chambre.

 

Ne résistant plus à son envie, elle se décida à ouvrir les colis qui lui étaient adressés. Le premier contenait la livraison qui ne devait arriver que le lendemain, alors que le deuxième contenait trois petites attention que son soumis avait eu pour Elle lors de ses courses matinales, afin d’améliorer le confort de Sa Dominatrice. La livraison contenait un harnais de cuir noir, qui était muni d’un gode noir en latex, afin de pouvoir chevaucher son petit soumis comme la chienne qu’il était, et malgré une curiosité très rapidement réprimandé de la part de son petit soumis, Elle ne pu résister longtemps à la tentation de violer son intimité quasi vierge, de le prendre sauvagement alors qu’il lui tendait son orifice. Elle ne l’avait pas encore fait supplié de se faire violer, défoncer ou tout autre terme qu’Elle estimerait assez humiliant, mais la semaine n’était pas encore finie.

 

Après une rapide épilation et une accommodation à des agresseurs étranger par une rafraîchissante lubrification, elle entama des profonds et violents mouvements avec Son nouveau sexe de latex, arrachant des cris étouffés de son soumis, car pour ne pas trop l’entendre gémir, Elle lui avait attaché son gros bâillon boule, celui qu’il peinait à supporter durant des périodes prolongées, dû à son diamètre important. Mais la fureur sauvage la gagnant Elle lui ôta le bâillon pour savourer avec plaisir les gémissements honteux de son petit soumis. Probablement trop occupée cette première fois à bien acquérir la dextérité nécessaire aux mouvements de va et vient, Elle n’avait pas eu le temps de jouer psychologiquement avec Sa proie, mais une fois de plus ce n’était que partie remise. Satisfaite de son nouveau jouet, Elle lui ordonna d’aller se laver, de prendre le gode et de le laver avec lui et de revenir la voir lorsque cela sera fait. Il avait regretté qu’avant de commencer sa chevauchée sauvage, Elle n’ai pas cherché à l’humilier d’avantage en lui faisant faire une fellation bien appuyée. Elle aurait ainsi pu lui apprendre une bien amer leçon sur les profondeurs qu’il est acceptable de mettre en bouche, la difficulté de faire les mouvements sans avoir de haut le cœur ou l’humilier encore d’avantage en forçant sur sa tête les aller retours ou par des mots tranchants dont Elle a le secret. Mais tout cela devait certainement faire partie d’un plan bien plus diabolique, que seule Maîtresse Iris était capable de concevoir.

 

Il profita de sa douche pour reprendre contact avec son fondement et ses sens, car il était encore tout assommé par la violence de l’assaut qu’il venait de subir. Il dû également expulser l’excédent d’air qu’il avait accumulé durant les attaques mais aussi durant la phase de préparation à la pénétration. Après avoir repris quelques peu ses esprits et nettoyer honteusement les quelques dégâts qu’il avait fait sur le lit, elle lui accorda un des deux seuls moments de répits de sa journée. C’est allongé sur une serviette moelleuse, qu’il pu s’enivrer du parfum de Sa Déesse Iris, pendant que celle-ci prenait le soin de lui malmener le torse et le visage à la pince à épiler. Il avait du mal à comprendre comment Elle pouvait faire aussi mal avec une si petite pince, mais il se concentra sur Son parfum et Sa présence durant cet acte, pour faire abstraction du léger inconvénient que présentait l’épilation à la pince.

 

Ses batteries un peu rechargées il remercia timidement Sa Maîtresse, ne sachant si une telle marque de reconnaissance était appropriée, mais n’ayant obtenu ni punition ni réprimande à l’issue de sa gratitude, il estima qu’elle comprenait pourquoi il avait dit ça, bien que généralement il ne soit autorisé à parler que sous certaines conditions.

 

        Ensuite, Elle prît le temps de lui montrer comment il convenait d’épiler une Déesse, mais ne pouvant se résoudre à ce qu’il la voit toute nue, d’une manière si intime, elle opta pour un stratagème digne des séances chez l’esthéticienne, afin que les pensées de son soumis se focalise sur son travail et non sur l’attrait qu’il pourrait porter à son entrecuisse. Elle n’était pourtant pas dupe et savait bien que même s’il n’oserait jamais profiter d’une telle situation, il avait tout le plaisir de s’enivrer des senteurs féminines de Maîtresse Iris dont il raffolait, et il dû réprimer tout du long l’envie de plaquer sa bouche sur l’entrecuisse de Sa Maîtresse. Mais il savait que son sérieux à la tâche déterminerait la façon dont elle s’occuperait de faire de lui plus tard dans la semaine un petit soumis imberbe du haut des épaules, jusqu’à son petit trou moins serré que d’habitude pour l’occasion, et il fût du mieux qu’il pouvait tentant d’appliquer à la lettre chacun des précieux conseils de Maîtresse Iris.

 

Malheureusement le temps leur manqua pour finir de rendre Sa Déesse aussi douce que de la soie, et ce n’est donc que mentalement qu’il pu s’imaginer, immobilisé totalement de la tête au pied, contraint de faire jouir sa Maîtresse avec sa langue si il souhaitait revoir une lumière autre que celle du latex noir de la culotte fendue qui oppressait son visage, et espérer respirer autre chose que le goût exquis de Sa Déesse Iris avant de s’étouffer ou se noyer suivant l’intensité du désir qu’il arriverait à éveiller en Elle en léchant Son Puit de plaisir entièrement lisse.

 

Mais il revînt vite sur terre lorsque pendant la préparation de l’exquis repas que Sa Maîtresse avait consenti à faire, il fît l’erreur de prendre une seule initiative. Apportant un saladier nécessaire à Sa Maîtresse en anticipant son besoin avant que celle-ci ne lui en donne l’ordre, il avait outrepassé fortement les limites qu’ils avaient fixées. Il n’était pour le moment rien, personne, un soumis insignifiant, et seuls les ordres qu’on lui donnait devait justifier des actions aussi rapide et efficaces que possible de sa part. Toute autre initiative lui était prohibée. Le rappel à l’ordre à la cravache lui rappela en quelques coups seulement comment Elle l’avait usé, torturé puis brisé sous la dextérité de Sa frappe et de Ses paroles.

        Lorsque le repas et le gâteau furent enfin prêts, il eu la joie de découvrir que Sa Maîtresse avait prévu une manière de manger digne de son rang. Il apprécia son repas alternativement couché et assis sur sa couchette de petite chienne, et bien qu’il aurait préféré avoir une gamelle à lécher plutôt que des couverts, vu l’état psychique dans lequel il était, il La remercia intérieurement de la bonté qu’Elle avait eu envers lui.

 

        Après son délicieux repas, il eu l’immense bonheur et privilège de pouvoir rejoindre Maîtresse Iris sur son canapé, et de se blottir tendrement au creux de Son Sein pendant qu’elle lui caressait délicatement la tête. Transporté par cet élan de tendresse, il vogua tranquillement vers une paix intérieure, ou tout n’était plus qu’une pulsation lumineuse qui résonnait dans sa nuque sous forme de douce chaleur. Il aurait souhaité que ce moment dure une éternité, et s’accommoda parfaitement du temps supplémentaires que la dégustation des cerises lui avaient permis au creux des bras de Sa Maîtresse.

 

        Alors que doucement vînt l’heure des séparations, Sa Maîtresse estima qu’il était maintenant temps de renforcer encore l’état de soumission et de travailler les fondamentaux, Elle l’avait usé toute la journée et il allait pouvoir être disposé à faire quelque chose pour Elle sans qu’Elle n’ai même à lui demander. En marchant avec Elle sur un itinéraire qui différait de l’habituel, il avait rapidement compris que l’histoire n’était pas tout à fait fini, et tout ses soupçons furent évanouis lorsque après lui avoir douloureusement torturer le téton elle le força à revenir sur leurs pas pour récupérer le téléphone portable qu’il avait omis de rappeler à Maîtresse Iris de prendre avec Elle. Alors qu’il courait pour revenir avec l’objet de sa nouvelle mission, il pensait encore à la petite chaleur que son téton dégageait et se demandait si Elle avait l’intention de se servir encore de cette torture là sur lui.

 

Mais tout retomba de nouveau dans son joli petit monde, lorsqu’en Inquisitrice Maîtresse Iris trouva la faille dans sa préparation des courses du jour. Dégoûté d’avoir laissé passer quelque chose d’aussi évident que les tomates cuisinés sur sa liste, il perdît le fil durant une petite seconde, qui n’échappa pas à la fine analyse de Sa Maîtresse, qui lui fît bien assez tôt regretter son insolence. Sous la relative protection qu’offrait un coin avec quelques arbres, Elle le regarda dans les yeux et lui ordonna de se mettre à genoux dans les graviers, afin de se faire pardonner l’affront qu’il venait de commettre. L’adrénaline fusa en lui, confus entre le sentiment d’être surpris par ce cycliste qu’il entendait dans son oreille, son besoin d’obéir à Sa Déesse Iris, et son soudain souvenir qu’il n’avait pas droit au safeword. Sa Maîtresse lui avait appris précédemment lors de leur première rencontre, durant la semaine où elle l’avait brisé, qu’il ne disposait pas de moyen de faire stopper les choses, et que seule Elle pouvait estimer qu’il fallait passer à autre chose ou s’arrêter mais qu’en aucun cas elle lui laissait se pouvoir. Ce rush de pensées de quelques secondes suffit à faire défiler le cycliste devant lui, et c’est sous le regard attentif de Maîtresse Iris, qu’il se prosterna enfin devant elle.

 

        Elle réitéra dans un autre lieu au calme tout aussi relatif l’expérience, en lui imposant cette fois-ci de déposer un baiser sur Ses Splendides Sandales Noires à boucles. Il s’exécuta plus docilement, Elle était douée pour percer un trou, et il lui était dès lors toujours plus facile de s’y réinsérer pour augmenter encore l’effet sur son soumis. Electrisé au moment où ses lèvres avaient frôlés les chaussures de Sa Déesse, il passa la quasi-totalité du reste du chemin en silence, protestant à demi mots uniquement lorsque Sa Maîtresse entreprit de le faire monter dans le tram alors qu’il n’avait ni ticket, ni de quoi en acheter, ni même quoi que ce soit qui montrerait son identité. Il ne pouvait s’empêcher de penser qu’il aurait eu tout ce qu’il fallait si Sa Déesse lui avait ordonné d’emporter sa sacoche avec lui, mais sourit à l’idée qu’Elle devait également le savoir.

 

Sans lui avoir demander, il l’avait raccompagné jusque chez Elle, et après quelques menus échanges, Elle disposa de lui en répondant à sa dernière question par une hypothétique éventualité. Il souhaitait pouvoir avoir le privilège de la nommer Maîtresse Iris, mais elle n’était pour le moment que Sa Maîtresse. C’était déjà énormément pour lui, mais cette étape supplémentaire, le liera à Elle tout autant qu’un collier attitré le ferait. Après quelques instructions elle prit congé de lui, et c’est seul avec ses pensées qu’il dû faire tout le chemin du retour…

Par Gazda Perun - Publié dans : Soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 21 août 5 21 /08 /Août 01:30
Ce texte devait à l'origine montrer comment Elle pouvait le forcer à admettre ce qu'il était. Ils n'avaient pas encore beaucoup joué et toutes les subtilités n'étaient pas encore présentes dans leurs scénarios. Ce texte devait les y aider, mais à l'heure actuelle le scénario n'a pas encore eu vraiment lieu .

         Depuis les évènements de l’hôtel, ils s’étaient depuis revus plusieurs fois et une complicité certaine s’était créée entre eux. Cependant elle savait que son plus gros défaut à lui était de ne jamais totalement s’abandonner. Elle avait beau le punir, ou lui ordonner toutes sortes de chose, elle n’avait pas encore réussi à trouver le moyen de le faire complètement fléchir. Un autre rendez-vous était prévu chez lui pour le week-end suivant et elle comptait bien réussir cette fois-ci à le soumettre entièrement. Quand à lui il eut beaucoup de mal à rester concentré sur son travail pendant la semaine qui le séparait de sa séance avec sa Maîtresse. Ces derniers temps ils ne s’étaient pas beaucoup vu, un manque de temps un peu chez les deux, ou un désir un peu moins fort peut être.

 

         Elle n’avait pas exigé grand-chose de lui contrairement à son habitude. Elle avait décidée du jour et de l’heure de son arrivée, mais il ignorait totalement ce qui pouvait bien l’attendre. Il avait accumulé bon nombre de jouets pour adultes au cours des dernières années, et elle le savait bien, tout devait être prêt à sa disposition. Elle n’aurait pas grand-chose à ramener avec elle. Il ne pouvait s’empêcher d’émettre toutes sortes d’hypothèses sur la raison qui l’avait poussé à lui demander de se libérer tout le week-end pour elle. Dans ses souvenirs, la plus longue séance qu’ils aient eue avait duré deux ou trois heures tout au plus, et il en gardait un souvenir qui était mêlé d’images et de sensations. Elle avait alors réussi à le soumettre à son emprise. Pas très longtemps, mais quelques secondes suffisamment longues pour qu’il se le remémore.

         Les jours lui semblaient des mois et c’est difficilement qu’il résista à la tentation de « tricher » comme elle disait. Tenir cinq jours ainsi était un préliminaire difficilement supportable pour lui, il ne pouvait réfréner des visions de lui soumis aux désirs de sa Maîtresse, et ses nuits devenaient de plus en plus agitées au fur et à mesure que la semaine s’écoulait.

Enfin le samedi matin arriva, il était tellement impatient que lorsqu’il n’était pas clairement occupé à préparer quelque chose, il pouvait sentir son coeur jusque dans sa nuque, tant l’excitation était grande. Il avait également du mal à contenir ses érections, qui souvent devenaient douloureuse tant elles étaient longues et fortes.

Finalement son calvaire allait prendre fin dans quelques minutes, ou commencer réellement selon la façon dont on voyait les choses. Il avait tout de même prévu une vingtaine de bougies au cas où, car il savait qu’elle aimait particulièrement la lumière qu’elles diffusaient et que si l’envie l’en prenait, ces bougies pouvaient avoir un tout autre but.

         A l’heure exacte qui était convenue, elle sonna chez lui. Il s’empressa d’appuyer sur l’interrupteur, d’entrouvrir la porte puis de retourner dans la chambre comme elle l’avait demandé. Lorsque elle franchit le seuil de la porte, il entendît ses talons résonner sur le plancher. Elle se dirigea vers la salle de bain, sans doute pour se préparer. Cette attente était terriblement excitante pour lui, il savait qu’elle était là à quelques mètres seulement de lui, mais comme convenu il l’attendait à genoux dans un coin de la chambre, les mains croisées dans le dos, uniquement vêtu de son boxer. Il adorait quand elle exigeait de lui cette position pour leur rencontre, car elle le mettait en condition pour ce qui aller lui arriver ensuite. Il ne pouvait pas voir la porte de son coin de la chambre, mais l’appartement était suffisamment silencieux pour qu’il entende les sons et les bruissements d’étoffes en provenance de la salle de bain.

 

         Après une attente de seulement quelques minutes, il avait du mal à rester en place, il n’était pas beaucoup plus souple que la première fois qu’ils s’étaient rencontrés et cette position était toujours aussi désagréable pour lui. Il se demandait si elle le savait en cet instant et si par hasard elle ne ferait pas exprès de prendre tout son temps pour finir de se préparer.

Quelques instants plus tard il entendît le bruit d’un interrupteur qu’on éteint puis de nouveau des talons sur le parquet. Le bruit était plus net que précédemment, le talon devait être plus fin et plus haut. Elle entra dans la chambre qui était déjà tamisée, et s’approcha du volet. Elle le descendit complètement puis se dirigea vers lui. Elle se pencha au dessus de lui, et dans un souffle lui dit :

 

- Bonjour… tu es prêt ?

- B…bonjour Maîtresse, oui je suis prêt Maîtresse.

- Tourne toi.

- Oui Maîtresse.

 

         Elle l’avait à peine effleuré et pourtant il était déjà parti dans un autre monde, son parfum sucré était plus prononcé que d’habitude, un simple mouvement avait suffit à faire parvenir à ses sens la senteur exquise de celle qu’il devait vouvoyer, il n’avait pas senti ses cheveux contre sa nuque lorsqu’elle s’est penché et cela le laisser penser qu’elle avait du attacher ses cheveux en arrières probablement sous cette forme de tresse qui lui donne une allure aussi autoritaire.

Il s’était retourné délicatement, mais toujours sans la regarder, il avait appris qu’il ne devait affronter son regard que lorsque celle-ci le lui demandait, et que dans tous les autres cas, il serait giflé comme il l’a été lors de leur première séance, pour lui montrer qui mène la danse.

 

- J’ai prévu un petit quelque chose pour toi avant que l’on ne commence vraiment. Je veux que tu lises ceci et que tu signes en bas de la page.

- Oui Maîtresse.

 

Elle lui tendît une feuille de papier sur laquelle était inscrite un texte. Le style était assez littéraire et il se dit qu’elle avait du prendre un certain temps pour le rédiger. Quelques phrases en particulier résonnaient dans sa tête pendant qu’il signait en bas de la page :

 

             Par le présent contrat je m’engage à renoncer à toutes mes libertés, mon corps et mes pensées appartiennent à Ma Maîtresse pour les prochaines 24 heures et elle est libre d’en disposer comme bon lui semble. […]

 Je devrais la servir et honorer ce contrat, en échange de quoi Ma Maîtresse s’engage à parfaire mon éducation, et me mener vers des sensations jamais atteintes.

[…]

Aucune justification autre que le danger immédiat ne pourra briser le présent contrat. Je dispose toujours du mot de sécurité STOP lorsque j’estime que mes limites définies lors d’un précédent entretien sont franchies. Cependant, c’est Ma Maîtresse et elle seule qui décidera de la suite à donner aux événements dans le cas où j’utiliserais le mot de sécurité.

[…]

 

 

         Elle prit le contrat signé, le posa sur le bureau, puis s’approcha de lui. Elle tenait dans ses mains un collier de cuir noir, qu’elle passa autour de son cou. Il savait que c’était là le symbole de sa soumission et il ne fût pas surpris lorsqu’elle lui annonça que son petit esclave devrait porter ce collier pour les prochaines 24 heures. Il avait à peine laissé le temps d’entrevoir les jambes de sa Maîtresse. Il ignorait encore ce qu’elle portait sur elle hormis ses magnifiques chaussures à talons vernies noires, et ses bas soyeux qu’il adorait caresser de son visage.

Elle attacha une lanière de cuir à son collier puis le tira fermement en avant. Encore à genoux, il du se résoudre à se déplacer à quatre pattes. Elle le fit promener ainsi jusqu’à la chambre adjacente dans laquelle se situait un lit simple, dont la housse de couette était en plastique blanc, comme elle l’avait exigé. Elle le poussa à s’allonger sur le lit, détacha d’un mouvement rapide la laisse puis se releva.

 

- Bien, nous allons commencer ton traitement médical. Aujourd’hui nous allons tester tes réactions à une privation sensorielle très exigeante. Tu m’entendras peu, tu ne me verras pas. Il te sera impossible de bouger pour éviter ton traitement, et quand a ce qui est des protestations …

Je ne suis pas sur que tu puisses vraiment le faire non plus. Tu n’y vois pas d’objections n’est ce pas ?

 

-Non Maîtresse…

 

 

         Son souffle devenait plus fort, à mesure que son excitation montait. Durant les minutes qui suivirent elle s’affairait autour de lui. Elle lui passa de grosses menottes en cuir noir au poignet, puis lui fit poser les mains au dessus de la tête. Elle savait par expérience qu’il testait toujours ses liens pour vérifier la liberté de mouvement qui était encore à sa disposition et qu’il n’hésitait pas à jouer avec la liberté qui lui rester. Elle attrapa donc une corde qu’elle passa autour des montants en bois du lit. Elle rapprocha au maximum les menottes, tant et si bien qu’il ne disposait plus que de quelques millimètres pour bouger ses mains. Après lui avoir retirer son boxer, elle se servit d’une longue corde noire pour lui écarter les jambes. Elle attacha chaque jambe fermement à une extrémité du lit, ce qu’il l’écartait totalement. Une fois de plus, elle prit un soin particulier à verrouiller la position de chaque jambe de façon à ce qu’il ne puisse quasiment pas bouger le bas du corps et ce dans toutes les directions.

 

        Maintenant qu’il était attaché de cette façon, il devenait beaucoup plus facile de finaliser son projet. Elle avait longuement hésité sur la façon de faire tenir les boules quiès dans ses oreilles. Elle avait regretté qu’il ne dispose pas d’une cagoule en latex, laissant seulement libre sa bouche et ses narines pour respirer. Il aurait été ainsi facile de le priver de voir et d’entendre en même temps.

 De même elle n’aimait pas l’idée de lui enrouler la tête dans du papier cellophane pour reproduire une sensation identique. Cela lui demanderait trop de temps de bien faire attention à ce qu’il puisse respirer, mais que l’ensemble soit assez serré autour de sa tête. De plus cette solution ferait trop plaisir à son patient et cela n’était pas son but premier. Elle s’était donc contenté d’un bonnet de bain en latex, suffisamment extensible pour recouvrir les yeux et les oreilles de son soumis, il était fermement bloqué sous cette contrainte en plastique et les boules quiès ne risquaient pas de bouger d’un millimètre.

 

         Elle lui introduisit ensuite dans la bouche un bâillon boule plus gros que celui qu’il avait l’habitude de porter, et dont la balle était dure et lisse, contrairement à celle autour de laquelle il salivait habituellement. Ce morceau de silicone n’avait pas de goût ou d’odeur particulier et il se surprit à penser que si sa mâchoire le permettait il aimerait bien pouvoir porter un tel bâillon pendant de longues heures.

 

         Maintenant il était définitivement à sa merci, il ne pouvait pas savoir ce qu’elle allait faire, ni l’entendre car seul les battements de son cœur lui étaient audibles. Son corps était le seul capteur dont il disposait encore pour tenter d’obtenir des indices sur ce qu’elle préparait. Elle s’assit sur son bassin et il obtint ainsi une partie des réponses aux questions qu’il se posait. Elle portait en effet bien une blouse d’infirmière adéquate avec le rôle qu’elle semblait jouer, car il en reconnaissait la texture en coton sur le haut de son torse. Il sentait ses bas soyeux le long de ses jambes, et les douleurs qu’il ressentait au niveau des mollets étaient probablement dues aux talons qui appuyaient fermement contre sa peau.

Il la sentit lui caresser le torse, puis le bas de la nuque. La sensation lui était bien connue, et il savoura ces instants où des mains gantés de latex parcourait le haut de son corps avec un tel engouement qu’il ne pu s’empêcher de frissonner et gémir sous la caresse.

 

Sa main glissa vers son visage, et il sentit l’odeur forte du latex tout près de son nez. A sa grande surprise elle comprima son visage dans sa main, bloquant en même temps son nez et sa bouche dans une étreinte de latex. Il ne pouvait pas faire grand-chose pour se débattre, il se contenta de gémir et de tirer sur ses liens, et le seul effet que cela produisit fût de le faire transpirer encore un peu plus sur son lit de plastique. L’effort accentua sa sensation de douce asphyxie, bloqué par la divine main de celle à qui il s’était livré de lui-même. Plusieurs fois elle recommença le procédé, sans doute pour lui montrer qu’il ne pouvait pas l’empêcher de faire quoi que ce soit, qu’il était entièrement à sa merci. Pendant quelques secondes il avait envisagé d’utiliser le mot de sécurité, mais pour une raison inconnue, il la laissa faire.

Soudainement, elle se releva et il n’entendit plus rien. Pendant les quelques secondes qui étaient nécessaire à sa Maîtresse pour préparer la suite du programme, il naviguait dans un la pénombre et seul des sons étouffés lui parvenaient. Il était déconnecté de la réalité, ne sachant depuis combien de temps il était ainsi privé de ses sens et depuis combien de temps elle s’était relevée. Il sentit de nouveau la main gantée de latex, mais cette fois elle caressait son entrecuisse. Il l’entendit murmurer quelque chose, suffisamment fort pour qu’il sache qu’elle avait parlé mais pas assez pour qu’il puisse comprendre ses intentions. Pendant un délicieux moment, les mains de son infirmière sévère s’affairèrent à faire encore monter le désir en lui. Son érection était à son maximum, et son souffle devenait de plus en plus court. A chaque fois qu’il expirait par la bouche, de la salive débordait légèrement du bâillon. Puis elle s’arrêta. Il sentit alors quelque chose de frais sur sa peau, dans une région si sensible et délicate de son corps. De ses doigts elle étala cette sorte de crème autour de son pénis, puis elle descendit progressivement jusqu’au creux de ses fesses, sans oublier de zones sur le chemin. Sa peau le brûlait légèrement, la sensation lui rappelait les fois où il avait dû se raser l’entrejambe car sa Maîtresse lui avait demandé d’être tout lisse.

 

Il comprit alors qu’elle avait cette fois l’intention de faire le travail elle-même. A peine en était il arrivé à cette conclusion, que le contact du rasoir sur sa peau confirma les doutes qu’il pouvait encore avoir.

Cette infirmière particulière était bien résolue à le raser du pénis jusqu’aux fesses. Durant l’opération il cherchait en lui-même les raisons qui avaient pu la pousser à faire les choses elle-même sur une zone plus étendue qu’à l’accoutumée, et il se mit à fantasmer sur les éventualités qu’un tel traitement pouvait signifier. Après en avoir terminer elle l’essuya longuement, puis inspecta son travail en le caressant. Là où des poils raccrochaient auparavant dans son gant en latex, elle n’avait plus sous la main qu’une sensation de satin, une peau de bébé qui s’offrait à elle. Elle souriait en pensant à tout ce qui allait encore se passer pendant les prochaines 24 heures. Mais maintenant était venu le moment de lui faire subir une première leçon.

        Elle passa un long moment à alterner frustrations et tortures. Tantôt avec ses mains, tantôt avec sa bouche, elle le conduisait aux portes d’un orgasme qu’il attendait depuis quasiment une semaine. Il ressentait deux points de côtés tant ses testicules estimaient qu’il était grand temps de se débarrasser du liquide en trop, mais jamais elle ne le laissait jouir. A chaque fois qu’il gémissait trop fortement, et que ses halètements le faisaient trembler de tout son corps, elle stoppait net, lui tapait ou mordait le pénis, puis entamait diverses punitions. Elle adorait torturer ses tétons, et elle savait qu’il ne détestait pas ça. Sauf qu’aujourd’hui elle n’avait pas toute la délicatesse qu’elle peut avoir parfois, et c’est sévèrement qu’elle sollicitait sa poitrine de garçon. Elle l’avait griffé, tiré, mordu, chauffé avec de la cire, refroidit avec des glaçons et même pincé pendant quelques secondes à l’aide de pince à linges en plastiques. Tout son corps avait subit progressivement le même traitement, et souvent elle ne faisait une pause dans sa punition que lorsque il avait suffisamment crié et gémis comme un petit chien battu.

Au bout d’un moment qui lui semblait une éternité, il ressentait une douce douleur omniprésente sur tout son corps. Il sentait que la cire avait était étendue un peu partout sur son corps, et les glaçons ne le rafraîchissaient plus maintenant qu’ils étaient fondus sur le lit de plastique. Il transpirait beaucoup sous le châtiment de Sa Maîtresse, mais son esprit était dans une dimension qu’il n’avait jamais connue, mêlant plaisir et douleur en une seule et même pulsation, qui le faisait vibrer entièrement. Puis elle reprit ses caresses, de manière plus prononcées et plus rapides. En quelques secondes il se retrouva de nouveau quasiment sur le point de jouir. Elle serra fortement dans sa main de latex son sexe et approcha sa tête de son oreille pour qu’il l’entende :

 

- Je vais te faire jouir comme l’esclave que tu es. Tu vas me montrer à quel point les soins de ta Maîtresse te font plaisir, je veux t’entendre crier comme le bon petit soumis que tu es. Et… tu vas subir ce que tu adores infliger à ta copine, sale pervers. Je vais te faire avaler ton sperme jusqu’à la dernière goutte, et si tu refuses, ma main te fera étouffer dans du latex et ton propre jus, jusqu’à ce que tu sois obligé d’ouvrir la bouche pour respirer.

 

Il avait clairement entendu ce qu’elle lui avait dit. Il se débattait en faisant de grand non de la tête, mais pour le moment il avait toujours son bâillon pour l’empêcher de parler. Il ne pouvait s’imaginer qu’elle veuille autant l’humilier. Peut être que cette punition n’avait pour but que de lui montrer ce qu’il faisait subir de temps à autre à sa copine, et il se dit que parfois il aurait mieux fait de ne pas tout avouer à sa Maîtresse ou d’en demander autant à sa copine. Pendant cette courte réflexion elle avait arrêté sa forte pression sur son sexe et recommencer à le sucer et le branler énergiquement, et quelques secondes plus tard elle recueillit au creux de sa main le fruit de ses efforts. Il avait crié en jouissant, il tremblait de tout son corps, et peinait à reprendre son souffle, la bave coulait le long de ses joues. De sa main libre elle sortit la boule de sa bouche et lui plaqua vigoureusement l’autre main sur le visage. Il ne pouvait plus respirer du tout, son nez et sa bouche étaient inondés par son propre plaisir, et l’étreinte du latex se fermait hermétiquement sur son visage. Il se débattit quelques secondes pour tenter d’échapper à cette suffocation, alors qu’elle lui criait à l’oreille d’ouvrir la bouche et de lécher comme le petit chien qu’il était. Il dû se résigner lorsque l’air commença à vraiment lui manquer. Brisé, soumis, et souillé, il lécha sagement toute sa semence pendant que sa maîtresse l’encourageait à voix plus douce. Il n’était plus un chien et un pervers, il était son gentil petit soumis, celui qui faisait plaisir à sa Maîtresse. Il avala progressivement le jus, elle rassembla tout le sperme qui s’était étalé sur son visage, et lui fît lécher ses doigts jusqu’à la dernière goutte, puis quand tout fût fini, elle lui retira son bonnet de latex et ses boules quiès. Il avait le haut du visage trempé, elle le regardait tendrement en lui caressant le visage, lui murmurant des mots doux à l’oreille alors que des larmes coulaient des joues de son prisonnier. Son regard était vide, il tremblait encore mais il semblait apaisé.

         Elle l’avait eu, pendant plus longtemps que les autres fois, sa résistance était brisée, il n’était plus un jeune homme, il était son soumis…

Par Gazda Perun - Publié dans : Soumis
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Dominer ou être dominé, tel est la question
  • Dominer ou être dominé, tel est la question
  • : Récits d'un jeune homme découvrant les plaisirs interdits du fétichisme, du bondage, de la domination et de la soumission.
  • : Histoires érotiques
  • Retour à la page d'accueil

Catégories

Recherche

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus