Dominer ou être dominé, tel est la question

Ce texte devait à l'origine montrer comment Elle pouvait le forcer à admettre ce qu'il était. Ils n'avaient pas encore beaucoup joué et toutes les subtilités n'étaient pas encore présentes dans leurs scénarios. Ce texte devait les y aider, mais à l'heure actuelle le scénario n'a pas encore eu vraiment lieu .

         Depuis les évènements de l’hôtel, ils s’étaient depuis revus plusieurs fois et une complicité certaine s’était créée entre eux. Cependant elle savait que son plus gros défaut à lui était de ne jamais totalement s’abandonner. Elle avait beau le punir, ou lui ordonner toutes sortes de chose, elle n’avait pas encore réussi à trouver le moyen de le faire complètement fléchir. Un autre rendez-vous était prévu chez lui pour le week-end suivant et elle comptait bien réussir cette fois-ci à le soumettre entièrement. Quand à lui il eut beaucoup de mal à rester concentré sur son travail pendant la semaine qui le séparait de sa séance avec sa Maîtresse. Ces derniers temps ils ne s’étaient pas beaucoup vu, un manque de temps un peu chez les deux, ou un désir un peu moins fort peut être.

 

         Elle n’avait pas exigé grand-chose de lui contrairement à son habitude. Elle avait décidée du jour et de l’heure de son arrivée, mais il ignorait totalement ce qui pouvait bien l’attendre. Il avait accumulé bon nombre de jouets pour adultes au cours des dernières années, et elle le savait bien, tout devait être prêt à sa disposition. Elle n’aurait pas grand-chose à ramener avec elle. Il ne pouvait s’empêcher d’émettre toutes sortes d’hypothèses sur la raison qui l’avait poussé à lui demander de se libérer tout le week-end pour elle. Dans ses souvenirs, la plus longue séance qu’ils aient eue avait duré deux ou trois heures tout au plus, et il en gardait un souvenir qui était mêlé d’images et de sensations. Elle avait alors réussi à le soumettre à son emprise. Pas très longtemps, mais quelques secondes suffisamment longues pour qu’il se le remémore.

         Les jours lui semblaient des mois et c’est difficilement qu’il résista à la tentation de « tricher » comme elle disait. Tenir cinq jours ainsi était un préliminaire difficilement supportable pour lui, il ne pouvait réfréner des visions de lui soumis aux désirs de sa Maîtresse, et ses nuits devenaient de plus en plus agitées au fur et à mesure que la semaine s’écoulait.

Enfin le samedi matin arriva, il était tellement impatient que lorsqu’il n’était pas clairement occupé à préparer quelque chose, il pouvait sentir son coeur jusque dans sa nuque, tant l’excitation était grande. Il avait également du mal à contenir ses érections, qui souvent devenaient douloureuse tant elles étaient longues et fortes.

Finalement son calvaire allait prendre fin dans quelques minutes, ou commencer réellement selon la façon dont on voyait les choses. Il avait tout de même prévu une vingtaine de bougies au cas où, car il savait qu’elle aimait particulièrement la lumière qu’elles diffusaient et que si l’envie l’en prenait, ces bougies pouvaient avoir un tout autre but.

         A l’heure exacte qui était convenue, elle sonna chez lui. Il s’empressa d’appuyer sur l’interrupteur, d’entrouvrir la porte puis de retourner dans la chambre comme elle l’avait demandé. Lorsque elle franchit le seuil de la porte, il entendît ses talons résonner sur le plancher. Elle se dirigea vers la salle de bain, sans doute pour se préparer. Cette attente était terriblement excitante pour lui, il savait qu’elle était là à quelques mètres seulement de lui, mais comme convenu il l’attendait à genoux dans un coin de la chambre, les mains croisées dans le dos, uniquement vêtu de son boxer. Il adorait quand elle exigeait de lui cette position pour leur rencontre, car elle le mettait en condition pour ce qui aller lui arriver ensuite. Il ne pouvait pas voir la porte de son coin de la chambre, mais l’appartement était suffisamment silencieux pour qu’il entende les sons et les bruissements d’étoffes en provenance de la salle de bain.

 

         Après une attente de seulement quelques minutes, il avait du mal à rester en place, il n’était pas beaucoup plus souple que la première fois qu’ils s’étaient rencontrés et cette position était toujours aussi désagréable pour lui. Il se demandait si elle le savait en cet instant et si par hasard elle ne ferait pas exprès de prendre tout son temps pour finir de se préparer.

Quelques instants plus tard il entendît le bruit d’un interrupteur qu’on éteint puis de nouveau des talons sur le parquet. Le bruit était plus net que précédemment, le talon devait être plus fin et plus haut. Elle entra dans la chambre qui était déjà tamisée, et s’approcha du volet. Elle le descendit complètement puis se dirigea vers lui. Elle se pencha au dessus de lui, et dans un souffle lui dit :

 

- Bonjour… tu es prêt ?

- B…bonjour Maîtresse, oui je suis prêt Maîtresse.

- Tourne toi.

- Oui Maîtresse.

 

         Elle l’avait à peine effleuré et pourtant il était déjà parti dans un autre monde, son parfum sucré était plus prononcé que d’habitude, un simple mouvement avait suffit à faire parvenir à ses sens la senteur exquise de celle qu’il devait vouvoyer, il n’avait pas senti ses cheveux contre sa nuque lorsqu’elle s’est penché et cela le laisser penser qu’elle avait du attacher ses cheveux en arrières probablement sous cette forme de tresse qui lui donne une allure aussi autoritaire.

Il s’était retourné délicatement, mais toujours sans la regarder, il avait appris qu’il ne devait affronter son regard que lorsque celle-ci le lui demandait, et que dans tous les autres cas, il serait giflé comme il l’a été lors de leur première séance, pour lui montrer qui mène la danse.

 

- J’ai prévu un petit quelque chose pour toi avant que l’on ne commence vraiment. Je veux que tu lises ceci et que tu signes en bas de la page.

- Oui Maîtresse.

 

Elle lui tendît une feuille de papier sur laquelle était inscrite un texte. Le style était assez littéraire et il se dit qu’elle avait du prendre un certain temps pour le rédiger. Quelques phrases en particulier résonnaient dans sa tête pendant qu’il signait en bas de la page :

 

             Par le présent contrat je m’engage à renoncer à toutes mes libertés, mon corps et mes pensées appartiennent à Ma Maîtresse pour les prochaines 24 heures et elle est libre d’en disposer comme bon lui semble. […]

 Je devrais la servir et honorer ce contrat, en échange de quoi Ma Maîtresse s’engage à parfaire mon éducation, et me mener vers des sensations jamais atteintes.

[…]

Aucune justification autre que le danger immédiat ne pourra briser le présent contrat. Je dispose toujours du mot de sécurité STOP lorsque j’estime que mes limites définies lors d’un précédent entretien sont franchies. Cependant, c’est Ma Maîtresse et elle seule qui décidera de la suite à donner aux événements dans le cas où j’utiliserais le mot de sécurité.

[…]

 

 

         Elle prit le contrat signé, le posa sur le bureau, puis s’approcha de lui. Elle tenait dans ses mains un collier de cuir noir, qu’elle passa autour de son cou. Il savait que c’était là le symbole de sa soumission et il ne fût pas surpris lorsqu’elle lui annonça que son petit esclave devrait porter ce collier pour les prochaines 24 heures. Il avait à peine laissé le temps d’entrevoir les jambes de sa Maîtresse. Il ignorait encore ce qu’elle portait sur elle hormis ses magnifiques chaussures à talons vernies noires, et ses bas soyeux qu’il adorait caresser de son visage.

Elle attacha une lanière de cuir à son collier puis le tira fermement en avant. Encore à genoux, il du se résoudre à se déplacer à quatre pattes. Elle le fit promener ainsi jusqu’à la chambre adjacente dans laquelle se situait un lit simple, dont la housse de couette était en plastique blanc, comme elle l’avait exigé. Elle le poussa à s’allonger sur le lit, détacha d’un mouvement rapide la laisse puis se releva.

 

- Bien, nous allons commencer ton traitement médical. Aujourd’hui nous allons tester tes réactions à une privation sensorielle très exigeante. Tu m’entendras peu, tu ne me verras pas. Il te sera impossible de bouger pour éviter ton traitement, et quand a ce qui est des protestations …

Je ne suis pas sur que tu puisses vraiment le faire non plus. Tu n’y vois pas d’objections n’est ce pas ?

 

-Non Maîtresse…

 

 

         Son souffle devenait plus fort, à mesure que son excitation montait. Durant les minutes qui suivirent elle s’affairait autour de lui. Elle lui passa de grosses menottes en cuir noir au poignet, puis lui fit poser les mains au dessus de la tête. Elle savait par expérience qu’il testait toujours ses liens pour vérifier la liberté de mouvement qui était encore à sa disposition et qu’il n’hésitait pas à jouer avec la liberté qui lui rester. Elle attrapa donc une corde qu’elle passa autour des montants en bois du lit. Elle rapprocha au maximum les menottes, tant et si bien qu’il ne disposait plus que de quelques millimètres pour bouger ses mains. Après lui avoir retirer son boxer, elle se servit d’une longue corde noire pour lui écarter les jambes. Elle attacha chaque jambe fermement à une extrémité du lit, ce qu’il l’écartait totalement. Une fois de plus, elle prit un soin particulier à verrouiller la position de chaque jambe de façon à ce qu’il ne puisse quasiment pas bouger le bas du corps et ce dans toutes les directions.

 

        Maintenant qu’il était attaché de cette façon, il devenait beaucoup plus facile de finaliser son projet. Elle avait longuement hésité sur la façon de faire tenir les boules quiès dans ses oreilles. Elle avait regretté qu’il ne dispose pas d’une cagoule en latex, laissant seulement libre sa bouche et ses narines pour respirer. Il aurait été ainsi facile de le priver de voir et d’entendre en même temps.

 De même elle n’aimait pas l’idée de lui enrouler la tête dans du papier cellophane pour reproduire une sensation identique. Cela lui demanderait trop de temps de bien faire attention à ce qu’il puisse respirer, mais que l’ensemble soit assez serré autour de sa tête. De plus cette solution ferait trop plaisir à son patient et cela n’était pas son but premier. Elle s’était donc contenté d’un bonnet de bain en latex, suffisamment extensible pour recouvrir les yeux et les oreilles de son soumis, il était fermement bloqué sous cette contrainte en plastique et les boules quiès ne risquaient pas de bouger d’un millimètre.

 

         Elle lui introduisit ensuite dans la bouche un bâillon boule plus gros que celui qu’il avait l’habitude de porter, et dont la balle était dure et lisse, contrairement à celle autour de laquelle il salivait habituellement. Ce morceau de silicone n’avait pas de goût ou d’odeur particulier et il se surprit à penser que si sa mâchoire le permettait il aimerait bien pouvoir porter un tel bâillon pendant de longues heures.

 

         Maintenant il était définitivement à sa merci, il ne pouvait pas savoir ce qu’elle allait faire, ni l’entendre car seul les battements de son cœur lui étaient audibles. Son corps était le seul capteur dont il disposait encore pour tenter d’obtenir des indices sur ce qu’elle préparait. Elle s’assit sur son bassin et il obtint ainsi une partie des réponses aux questions qu’il se posait. Elle portait en effet bien une blouse d’infirmière adéquate avec le rôle qu’elle semblait jouer, car il en reconnaissait la texture en coton sur le haut de son torse. Il sentait ses bas soyeux le long de ses jambes, et les douleurs qu’il ressentait au niveau des mollets étaient probablement dues aux talons qui appuyaient fermement contre sa peau.

Il la sentit lui caresser le torse, puis le bas de la nuque. La sensation lui était bien connue, et il savoura ces instants où des mains gantés de latex parcourait le haut de son corps avec un tel engouement qu’il ne pu s’empêcher de frissonner et gémir sous la caresse.

 

Sa main glissa vers son visage, et il sentit l’odeur forte du latex tout près de son nez. A sa grande surprise elle comprima son visage dans sa main, bloquant en même temps son nez et sa bouche dans une étreinte de latex. Il ne pouvait pas faire grand-chose pour se débattre, il se contenta de gémir et de tirer sur ses liens, et le seul effet que cela produisit fût de le faire transpirer encore un peu plus sur son lit de plastique. L’effort accentua sa sensation de douce asphyxie, bloqué par la divine main de celle à qui il s’était livré de lui-même. Plusieurs fois elle recommença le procédé, sans doute pour lui montrer qu’il ne pouvait pas l’empêcher de faire quoi que ce soit, qu’il était entièrement à sa merci. Pendant quelques secondes il avait envisagé d’utiliser le mot de sécurité, mais pour une raison inconnue, il la laissa faire.

Soudainement, elle se releva et il n’entendit plus rien. Pendant les quelques secondes qui étaient nécessaire à sa Maîtresse pour préparer la suite du programme, il naviguait dans un la pénombre et seul des sons étouffés lui parvenaient. Il était déconnecté de la réalité, ne sachant depuis combien de temps il était ainsi privé de ses sens et depuis combien de temps elle s’était relevée. Il sentit de nouveau la main gantée de latex, mais cette fois elle caressait son entrecuisse. Il l’entendit murmurer quelque chose, suffisamment fort pour qu’il sache qu’elle avait parlé mais pas assez pour qu’il puisse comprendre ses intentions. Pendant un délicieux moment, les mains de son infirmière sévère s’affairèrent à faire encore monter le désir en lui. Son érection était à son maximum, et son souffle devenait de plus en plus court. A chaque fois qu’il expirait par la bouche, de la salive débordait légèrement du bâillon. Puis elle s’arrêta. Il sentit alors quelque chose de frais sur sa peau, dans une région si sensible et délicate de son corps. De ses doigts elle étala cette sorte de crème autour de son pénis, puis elle descendit progressivement jusqu’au creux de ses fesses, sans oublier de zones sur le chemin. Sa peau le brûlait légèrement, la sensation lui rappelait les fois où il avait dû se raser l’entrejambe car sa Maîtresse lui avait demandé d’être tout lisse.

 

Il comprit alors qu’elle avait cette fois l’intention de faire le travail elle-même. A peine en était il arrivé à cette conclusion, que le contact du rasoir sur sa peau confirma les doutes qu’il pouvait encore avoir.

Cette infirmière particulière était bien résolue à le raser du pénis jusqu’aux fesses. Durant l’opération il cherchait en lui-même les raisons qui avaient pu la pousser à faire les choses elle-même sur une zone plus étendue qu’à l’accoutumée, et il se mit à fantasmer sur les éventualités qu’un tel traitement pouvait signifier. Après en avoir terminer elle l’essuya longuement, puis inspecta son travail en le caressant. Là où des poils raccrochaient auparavant dans son gant en latex, elle n’avait plus sous la main qu’une sensation de satin, une peau de bébé qui s’offrait à elle. Elle souriait en pensant à tout ce qui allait encore se passer pendant les prochaines 24 heures. Mais maintenant était venu le moment de lui faire subir une première leçon.

        Elle passa un long moment à alterner frustrations et tortures. Tantôt avec ses mains, tantôt avec sa bouche, elle le conduisait aux portes d’un orgasme qu’il attendait depuis quasiment une semaine. Il ressentait deux points de côtés tant ses testicules estimaient qu’il était grand temps de se débarrasser du liquide en trop, mais jamais elle ne le laissait jouir. A chaque fois qu’il gémissait trop fortement, et que ses halètements le faisaient trembler de tout son corps, elle stoppait net, lui tapait ou mordait le pénis, puis entamait diverses punitions. Elle adorait torturer ses tétons, et elle savait qu’il ne détestait pas ça. Sauf qu’aujourd’hui elle n’avait pas toute la délicatesse qu’elle peut avoir parfois, et c’est sévèrement qu’elle sollicitait sa poitrine de garçon. Elle l’avait griffé, tiré, mordu, chauffé avec de la cire, refroidit avec des glaçons et même pincé pendant quelques secondes à l’aide de pince à linges en plastiques. Tout son corps avait subit progressivement le même traitement, et souvent elle ne faisait une pause dans sa punition que lorsque il avait suffisamment crié et gémis comme un petit chien battu.

Au bout d’un moment qui lui semblait une éternité, il ressentait une douce douleur omniprésente sur tout son corps. Il sentait que la cire avait était étendue un peu partout sur son corps, et les glaçons ne le rafraîchissaient plus maintenant qu’ils étaient fondus sur le lit de plastique. Il transpirait beaucoup sous le châtiment de Sa Maîtresse, mais son esprit était dans une dimension qu’il n’avait jamais connue, mêlant plaisir et douleur en une seule et même pulsation, qui le faisait vibrer entièrement. Puis elle reprit ses caresses, de manière plus prononcées et plus rapides. En quelques secondes il se retrouva de nouveau quasiment sur le point de jouir. Elle serra fortement dans sa main de latex son sexe et approcha sa tête de son oreille pour qu’il l’entende :

 

- Je vais te faire jouir comme l’esclave que tu es. Tu vas me montrer à quel point les soins de ta Maîtresse te font plaisir, je veux t’entendre crier comme le bon petit soumis que tu es. Et… tu vas subir ce que tu adores infliger à ta copine, sale pervers. Je vais te faire avaler ton sperme jusqu’à la dernière goutte, et si tu refuses, ma main te fera étouffer dans du latex et ton propre jus, jusqu’à ce que tu sois obligé d’ouvrir la bouche pour respirer.

 

Il avait clairement entendu ce qu’elle lui avait dit. Il se débattait en faisant de grand non de la tête, mais pour le moment il avait toujours son bâillon pour l’empêcher de parler. Il ne pouvait s’imaginer qu’elle veuille autant l’humilier. Peut être que cette punition n’avait pour but que de lui montrer ce qu’il faisait subir de temps à autre à sa copine, et il se dit que parfois il aurait mieux fait de ne pas tout avouer à sa Maîtresse ou d’en demander autant à sa copine. Pendant cette courte réflexion elle avait arrêté sa forte pression sur son sexe et recommencer à le sucer et le branler énergiquement, et quelques secondes plus tard elle recueillit au creux de sa main le fruit de ses efforts. Il avait crié en jouissant, il tremblait de tout son corps, et peinait à reprendre son souffle, la bave coulait le long de ses joues. De sa main libre elle sortit la boule de sa bouche et lui plaqua vigoureusement l’autre main sur le visage. Il ne pouvait plus respirer du tout, son nez et sa bouche étaient inondés par son propre plaisir, et l’étreinte du latex se fermait hermétiquement sur son visage. Il se débattit quelques secondes pour tenter d’échapper à cette suffocation, alors qu’elle lui criait à l’oreille d’ouvrir la bouche et de lécher comme le petit chien qu’il était. Il dû se résigner lorsque l’air commença à vraiment lui manquer. Brisé, soumis, et souillé, il lécha sagement toute sa semence pendant que sa maîtresse l’encourageait à voix plus douce. Il n’était plus un chien et un pervers, il était son gentil petit soumis, celui qui faisait plaisir à sa Maîtresse. Il avala progressivement le jus, elle rassembla tout le sperme qui s’était étalé sur son visage, et lui fît lécher ses doigts jusqu’à la dernière goutte, puis quand tout fût fini, elle lui retira son bonnet de latex et ses boules quiès. Il avait le haut du visage trempé, elle le regardait tendrement en lui caressant le visage, lui murmurant des mots doux à l’oreille alors que des larmes coulaient des joues de son prisonnier. Son regard était vide, il tremblait encore mais il semblait apaisé.

         Elle l’avait eu, pendant plus longtemps que les autres fois, sa résistance était brisée, il n’était plus un jeune homme, il était son soumis…

Ven 21 aoû 2009 Aucun commentaire